L'Algérie a exprimé son regret et sa profonde inquiétude face à cette dénonciation, soulignant les conséquences graves que cela pourrait avoir non seulement pour le Mali lui-même, mais aussi pour la région qui aspire à la paix et à la sécurité. De plus, cette décision remet en question les efforts de la communauté internationale qui a apporté un soutien substantiel pour la mise en œuvre de l'accord.
L'Algérie a tenu à rappeler son engagement envers le peuple malien et son implication sincère dans la mise en œuvre de l'accord depuis ses débuts. Elle a souligné sa bonne foi et sa solidarité indéfectible envers le Mali frère.
Il est important de noter que l'Algérie a mis en lumière le caractère préparé de cette décision par les autorités maliennes, citant divers signes avant-coureurs au cours des deux dernières années, notamment le retrait partiel de la mise en œuvre de l'accord, le refus de relancer son application, et d'autres mesures telles que la désignation de signataires de l'accord comme dirigeants terroristes.
L'Algérie a averti que l'option militaire, qui semble maintenant être privilégiée, pourrait menacer l'unité et l'intégrité territoriale du Mali, provoquer une guerre civile et mettre en péril la paix et la stabilité régionales.
L'Algérie appelle à éviter les erreurs du passé et à rechercher des solutions pacifiques et réconciliatrices pour le Mali, soulignant que le pays a besoin de paix et de réconciliation, et non de nouvelles divisions et de violences.
L'Algérie a tenu à rappeler son engagement envers le peuple malien et son implication sincère dans la mise en œuvre de l'accord depuis ses débuts. Elle a souligné sa bonne foi et sa solidarité indéfectible envers le Mali frère.
Il est important de noter que l'Algérie a mis en lumière le caractère préparé de cette décision par les autorités maliennes, citant divers signes avant-coureurs au cours des deux dernières années, notamment le retrait partiel de la mise en œuvre de l'accord, le refus de relancer son application, et d'autres mesures telles que la désignation de signataires de l'accord comme dirigeants terroristes.
L'Algérie a averti que l'option militaire, qui semble maintenant être privilégiée, pourrait menacer l'unité et l'intégrité territoriale du Mali, provoquer une guerre civile et mettre en péril la paix et la stabilité régionales.
L'Algérie appelle à éviter les erreurs du passé et à rechercher des solutions pacifiques et réconciliatrices pour le Mali, soulignant que le pays a besoin de paix et de réconciliation, et non de nouvelles divisions et de violences.