Lomé, le 14 novembre 2016-Le rapport 2016 du Legatum Prosperity Index sur la prospérité économique de plusieurs pays a été publié début novembre. Le Togo y occupe des places encourageantes et se positionne devant plusieurs pays de la sous-région.
Le Legatum Institute est une société d’investissements qui est basée à Londres. Elle est financée par le Fonds d'investissement Legatum installé à Dubaï.
Comme chaque année, la société d’investissement a publié début novembre un rapport sur la prospérité des économies dans le monde. L’édition 2016 du rapport concerne 149 pays. Le Legatum Institute classe ces derniers en fonction d’une centaine de critères. Le rapport étudie pour chaque pays plusieurs secteurs. Il s’agit de l’économie, du climat des affaires, la gouvernance, l'éducation, la santé, la sécurité, la liberté personnelle et le capital social.
Le rapport indique que l’Economie du Togo prospère et évolue progressivement. Le document indique ainsi que le Togo occupe la 14e place sur le plan africain. Le pays devance au classement le Cameroun et le Nigéria.
Ce rapport qui reconnaît les efforts du gouvernement dans plusieurs domaines, encourage et invite aussi les autorités togolaises à poursuivre leurs politiques de réformes. La prospérité progressive de l’économie togolaise est le fruit d’une grande politique de développement que mène le gouvernement togolais. Il a en effet initié depuis quelques années des réformes dans des secteurs prioritaires. Une attention particulière est ainsi réservée aux infrastructures routières qui continuent d’être construites. Le tout dans une dynamique de créations d’emploi aux jeunes diplômés.
Sur un autre plan, dans l’assainissement du secteur financier et dans une lutte contre la corruption, le Togo a voté une loi portant création de la Haute autorité de prévention contre la corruption et les infractions assimilées. Cette loi est venue appuyer les actions de la Cour des comptes, l’inspection générale d’Etat et la cellule de traitement des informations financières. L’autre grande réforme reste la mise en place de l’Office Togolais des Recettes (OTR) qui promeut l’absence de la corruption et l’augmentation des recettes de l’Etat.
Le Legatum Institute est une société d’investissements qui est basée à Londres. Elle est financée par le Fonds d'investissement Legatum installé à Dubaï.
Comme chaque année, la société d’investissement a publié début novembre un rapport sur la prospérité des économies dans le monde. L’édition 2016 du rapport concerne 149 pays. Le Legatum Institute classe ces derniers en fonction d’une centaine de critères. Le rapport étudie pour chaque pays plusieurs secteurs. Il s’agit de l’économie, du climat des affaires, la gouvernance, l'éducation, la santé, la sécurité, la liberté personnelle et le capital social.
Le rapport indique que l’Economie du Togo prospère et évolue progressivement. Le document indique ainsi que le Togo occupe la 14e place sur le plan africain. Le pays devance au classement le Cameroun et le Nigéria.
Ce rapport qui reconnaît les efforts du gouvernement dans plusieurs domaines, encourage et invite aussi les autorités togolaises à poursuivre leurs politiques de réformes. La prospérité progressive de l’économie togolaise est le fruit d’une grande politique de développement que mène le gouvernement togolais. Il a en effet initié depuis quelques années des réformes dans des secteurs prioritaires. Une attention particulière est ainsi réservée aux infrastructures routières qui continuent d’être construites. Le tout dans une dynamique de créations d’emploi aux jeunes diplômés.
Sur un autre plan, dans l’assainissement du secteur financier et dans une lutte contre la corruption, le Togo a voté une loi portant création de la Haute autorité de prévention contre la corruption et les infractions assimilées. Cette loi est venue appuyer les actions de la Cour des comptes, l’inspection générale d’Etat et la cellule de traitement des informations financières. L’autre grande réforme reste la mise en place de l’Office Togolais des Recettes (OTR) qui promeut l’absence de la corruption et l’augmentation des recettes de l’Etat.