Lomé, le 7 octobre 2016-Le sommet sur la sureté, la sécurité et le développement en Afrique s’ouvre le 10 octobre prochain à Lomé. Cette rencontre extraordinaire qui prendra fin le 15 octobre permettra l’adoption de la charte de Lomé sur la sécurité maritime.
Le sommet extraordinaire de Lomé fait suite à ceux de Yaoundé et des Seychelles. Il vise à mettre en place une stratégie africaine de protection des mers et des océans, pour garantir paix, sécurité et stabilité, et faire de l’espace maritime africain le levier principal d’un développement économique pérenne. Ce sera à travers une charte sur la sécurité maritime que le Togo s’engage à faire adopter à l’issue des travaux.
Depuis plusieurs mois, le gouvernement togolais s’emploie à obtenir de la part de tous les chefs d’Etat, la signature de la charte de Lomé sur la sécurité maritime. La charte contient en effet des dispositions contraignantes qui devront conduire à sécuriser les eaux africaines. Ce document stratégique élaboré et examiné par plusieurs experts contient deux volets essentiels. « Il y a un volet sécuritaire qui touche à la sécurité et à la sûreté maritime et le deuxième volet, c’est le volet développement et essentiellement consacré à tout ce qui concerne l’économie bleue », a indiqué Robert Dussey, ministre togolais des Affaires étrangères.
La charte de Lomé contient des dispositions qui réglementent la lutte contre le pillage des ressources maritimes, la piraterie maritime, la pêche illicite non déclarée et non règlementée et la pollution marine. Les dispositions à valeur juridique que contient la charte permettront aux Etats africains d’harmoniser cette lutte. Le document prévoit également un renforcement des coordinations sous régionales pour la surveillance des côtés. L’adoption de cette charte va faciliter le développement de l’économie bleue et la protection des écosystèmes marins.
Avant l’ouverture des travaux le 10 octobre, le Togo a déjà fait plusieurs efforts dans le sens de l’adoption de cette charte. L’Etat togolais s’est investi pour que le document respecte toutes les procédures de validation interne à l’Union Africaine. La Charte a été déjà validée à la réunion des experts de l’UA. Le Comité technique spécialisé de l’UA des ministres de la défense l’a aussi fait. Quant aux ministres africains de la Justice, ces derniers ont eux aussi validé la charte le 9 septembre dernier à Lomé. Cette charte sera présentée « du 11 au 12 octobre pour une autre validation à la réunion des ambassadeurs», explique le chef de la Diplomatie togolaise. Les ministres des Affaires étrangères adopteront également le document avant de le soumettre aux chefs d’Etat qui devront l’adopter à la fin du sommet le 15 octobre.
Le sommet extraordinaire de Lomé fait suite à ceux de Yaoundé et des Seychelles. Il vise à mettre en place une stratégie africaine de protection des mers et des océans, pour garantir paix, sécurité et stabilité, et faire de l’espace maritime africain le levier principal d’un développement économique pérenne. Ce sera à travers une charte sur la sécurité maritime que le Togo s’engage à faire adopter à l’issue des travaux.
Depuis plusieurs mois, le gouvernement togolais s’emploie à obtenir de la part de tous les chefs d’Etat, la signature de la charte de Lomé sur la sécurité maritime. La charte contient en effet des dispositions contraignantes qui devront conduire à sécuriser les eaux africaines. Ce document stratégique élaboré et examiné par plusieurs experts contient deux volets essentiels. « Il y a un volet sécuritaire qui touche à la sécurité et à la sûreté maritime et le deuxième volet, c’est le volet développement et essentiellement consacré à tout ce qui concerne l’économie bleue », a indiqué Robert Dussey, ministre togolais des Affaires étrangères.
La charte de Lomé contient des dispositions qui réglementent la lutte contre le pillage des ressources maritimes, la piraterie maritime, la pêche illicite non déclarée et non règlementée et la pollution marine. Les dispositions à valeur juridique que contient la charte permettront aux Etats africains d’harmoniser cette lutte. Le document prévoit également un renforcement des coordinations sous régionales pour la surveillance des côtés. L’adoption de cette charte va faciliter le développement de l’économie bleue et la protection des écosystèmes marins.
Avant l’ouverture des travaux le 10 octobre, le Togo a déjà fait plusieurs efforts dans le sens de l’adoption de cette charte. L’Etat togolais s’est investi pour que le document respecte toutes les procédures de validation interne à l’Union Africaine. La Charte a été déjà validée à la réunion des experts de l’UA. Le Comité technique spécialisé de l’UA des ministres de la défense l’a aussi fait. Quant aux ministres africains de la Justice, ces derniers ont eux aussi validé la charte le 9 septembre dernier à Lomé. Cette charte sera présentée « du 11 au 12 octobre pour une autre validation à la réunion des ambassadeurs», explique le chef de la Diplomatie togolaise. Les ministres des Affaires étrangères adopteront également le document avant de le soumettre aux chefs d’Etat qui devront l’adopter à la fin du sommet le 15 octobre.