Paris, 19 juin—La Directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, a condamné aujourd’hui l’attaque qui a coûté la vie au journaliste Shujaat Bukhari ainsi qu’à ses deux gardes du corps, dans l’état de Jammu-et-Cachemire en Inde le 14 juin.
« Je condamne le meurtre de Shujaat Bukhari et de ses deux gardes du corps » a déclaré la Directrice générale. « J’appelle les autorités à ne ménager aucun effort pour retrouver et traduire en justice les responsables qui, malgré la présence de forces de l’ordre, n’ont pas hésité à réduire au silence un journaliste connu pour être la voix de la modération ».
Shujaat Bukhari, rédacteur en chef du quotidien Rising Kashmir, a été abattu par des assaillants non identifiés alors qu'il quittait son bureau. Les deux gardes qui l'escortaient ont également été tués dans l'attaque. Shujaat Bukhari était sous la protection de la police depuis une tentative de meurtre en 2000.
L’UNESCO promeut la sécurité des journalistes à travers des mesures de sensibilisation mondiale, un renforcement des capacités ainsi que la mise en œuvre du Plan d'action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l'impunité.
« Je condamne le meurtre de Shujaat Bukhari et de ses deux gardes du corps » a déclaré la Directrice générale. « J’appelle les autorités à ne ménager aucun effort pour retrouver et traduire en justice les responsables qui, malgré la présence de forces de l’ordre, n’ont pas hésité à réduire au silence un journaliste connu pour être la voix de la modération ».
Shujaat Bukhari, rédacteur en chef du quotidien Rising Kashmir, a été abattu par des assaillants non identifiés alors qu'il quittait son bureau. Les deux gardes qui l'escortaient ont également été tués dans l'attaque. Shujaat Bukhari était sous la protection de la police depuis une tentative de meurtre en 2000.
L’UNESCO promeut la sécurité des journalistes à travers des mesures de sensibilisation mondiale, un renforcement des capacités ainsi que la mise en œuvre du Plan d'action des Nations Unies sur la sécurité des journalistes et la question de l'impunité.