Le virus de paludisme poursuit son acharnement contre les enfants et les personnes âgées. Les hôpitaux sont débordés et des patients sont jetés par terre ( voir l'image ci dessus) puisqu'il n y a pas de lits. Cette offensive du virus a commencé fin août, faisant de centaines de morts.
Interrogé par la presse, le directeur général de l'hôpital central, M. Ngariera Ramaji, a reconnu que la situation est difficile et le nombre de malades qui afflue à l'hôpital est très important. Le Dr. Nour Mahamat Abdel aziz a, quant à lui, a indiqué que "le paludisme fait de ravage et que pour la seule journée de mercredi, plus de 86 malades ont été admis au service des urgences". La semaine dernière, l'hôpital de la Liberté de N'djamena a admis plus de 1000 patients dont environ 700 étaient hospitalisés, de fois ils sont couchés par terre, en raison de manque de lits, selon un médecin.
Interrogé par la presse, le directeur général de l'hôpital central, M. Ngariera Ramaji, a reconnu que la situation est difficile et le nombre de malades qui afflue à l'hôpital est très important. Le Dr. Nour Mahamat Abdel aziz a, quant à lui, a indiqué que "le paludisme fait de ravage et que pour la seule journée de mercredi, plus de 86 malades ont été admis au service des urgences". La semaine dernière, l'hôpital de la Liberté de N'djamena a admis plus de 1000 patients dont environ 700 étaient hospitalisés, de fois ils sont couchés par terre, en raison de manque de lits, selon un médecin.
En réalité, difficile d'imaginer une éradication totale du paludisme alors que la mairie n'envisage pas de faire un effort dans le domaine de l'assainissement de la ville. Comment comprendre qu'on est incapable de pulvériser les quartiers à haut risque, de nettoyer les poubelles qui jonchent les rues, de fermer les caniveaux, de nettoyer les rues? Comment imaginer que dans une ville comme N'djamena, on vit ensemble avec des margouillats, des "Aboundiguer", des moustiques, des insectes de tous genres, des crapauds, des reptiles et j'en passe...
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