Le Coordonnateur Exaucé Ibam Ngambili au cours de la tribune.
S’agissant de l’Initiative, l’honorable Exaucé Ibam Ngambili a éclairé la lanterne : " L’Initiative le Congo que nous voulons" est un cercle de réflexion composé des hommes et des femmes des divers horizons qui viennent échanger et discuter sur des problématiques qui minent notre société en vue d’apporter quelques solutions. »
Pour le coordonnateur de l’initiative, la démarche de sa plateforme qui consiste à échanger avec les populations au cours des conférences participatives est à louer. L’engouement que les populations manifestent à l’Initiative, trois mois seulement après qu’elle soit portée sur les fonts baptismaux, précise-t-il, n’est que la traduction de la joie des populations sur l’occasion qui leur ait donné de faire part de leurs aspirations profondes pour un Congo meilleur. L'honorable Exaucé Ibam Ngambili pense que ,c’est un exercice intelligent et important pour ces populations pour qu’elles manifestent leur totale adhésion de façon massive avant de soutenir « Nous pensons qu’à ce jour nous pouvons être fiers de tout ce que nous faisons à ce jour.»
Le Congo profond semble adhérer à cette initiative, au regard de sa mobilisation et de son enthousiasme lors des conférences participatives de Brazzaville, de Pointe-Noire, de Djambala et récemment de Dolisie, les membres de la coordination se disent déterminer d’aller jusqu’au bout de l’ambition; celle de réconforter les actions de Denis Sassou N’Guesso contenues dans son projet de société « la marche vers le développement. »
La méthode de « L’Initiative le Congo que nous voulons » est simple. Il s’agit, comme l’a répété le Coordonnateur à la tribune télévisée, de parcourir tous les départements du Congo et recueillir les recommandations du peuple profond pour les cocher dans un mémorandum à déposer auprès des pouvoirs publics.
Pour lui sa jeunesse en politique et en administration, ne comptent pas car la valeur d’un homme ne se juge pas par rapport à sa durée politique ou administrative ou à son âge, mais le plus important, ce sont les valeurs que les membres de l’Initiative portent et partagent. La tâche est difficile, mais pas impossible selon lui, car « c’est un exercice intellectuelle et scientifique » .L’Initiative pose les jalons et c’est aux décideurs politiques de mettre les projets en œuvre, a-t-il laissé entendre devant la presse.
L’orateur a dit sa désapprobation quant à l’irresponsabilité de certains leaders politiques, en mal de popularité, qui utilisent les grandes tribunes nationales pour débiter certaines énormités sur la personne de Denis Christel Sassou N’Guesso, parrain de l’Initiative, un congolais qui soutient de nombreuses actions citoyennes, des initiatives et projets. « C’est de la mauvaise foi… » a-t-il souligné avant de marteler « L’Initiative n’est pas une machine de campagne électorale. »
Il est surprenant, a poursuivi Exaucé Ibam Ngambili , d’interdire un congolais d’échanger avec le peuple profond. Pour lui « C’est un acharnement inutile sur Denis Christel Sassou N’Guesso » alors que le débat devrait être orienté sur les grands problèmes auxquels le Congo fait face, à l’instar de la crise économique. « …un pays pour avancer n’a pas besoin de telles bassesses. Nous, on est plus dans des débats de caniveau », a conclu le coordonnateur de l’Initiative avant d’inviter les détracteurs à rejoindre leurs rangs pour apporter leur pierre à l’édifice Congo.
Pour le coordonnateur de l’initiative, la démarche de sa plateforme qui consiste à échanger avec les populations au cours des conférences participatives est à louer. L’engouement que les populations manifestent à l’Initiative, trois mois seulement après qu’elle soit portée sur les fonts baptismaux, précise-t-il, n’est que la traduction de la joie des populations sur l’occasion qui leur ait donné de faire part de leurs aspirations profondes pour un Congo meilleur. L'honorable Exaucé Ibam Ngambili pense que ,c’est un exercice intelligent et important pour ces populations pour qu’elles manifestent leur totale adhésion de façon massive avant de soutenir « Nous pensons qu’à ce jour nous pouvons être fiers de tout ce que nous faisons à ce jour.»
Le Congo profond semble adhérer à cette initiative, au regard de sa mobilisation et de son enthousiasme lors des conférences participatives de Brazzaville, de Pointe-Noire, de Djambala et récemment de Dolisie, les membres de la coordination se disent déterminer d’aller jusqu’au bout de l’ambition; celle de réconforter les actions de Denis Sassou N’Guesso contenues dans son projet de société « la marche vers le développement. »
La méthode de « L’Initiative le Congo que nous voulons » est simple. Il s’agit, comme l’a répété le Coordonnateur à la tribune télévisée, de parcourir tous les départements du Congo et recueillir les recommandations du peuple profond pour les cocher dans un mémorandum à déposer auprès des pouvoirs publics.
Pour lui sa jeunesse en politique et en administration, ne comptent pas car la valeur d’un homme ne se juge pas par rapport à sa durée politique ou administrative ou à son âge, mais le plus important, ce sont les valeurs que les membres de l’Initiative portent et partagent. La tâche est difficile, mais pas impossible selon lui, car « c’est un exercice intellectuelle et scientifique » .L’Initiative pose les jalons et c’est aux décideurs politiques de mettre les projets en œuvre, a-t-il laissé entendre devant la presse.
L’orateur a dit sa désapprobation quant à l’irresponsabilité de certains leaders politiques, en mal de popularité, qui utilisent les grandes tribunes nationales pour débiter certaines énormités sur la personne de Denis Christel Sassou N’Guesso, parrain de l’Initiative, un congolais qui soutient de nombreuses actions citoyennes, des initiatives et projets. « C’est de la mauvaise foi… » a-t-il souligné avant de marteler « L’Initiative n’est pas une machine de campagne électorale. »
Il est surprenant, a poursuivi Exaucé Ibam Ngambili , d’interdire un congolais d’échanger avec le peuple profond. Pour lui « C’est un acharnement inutile sur Denis Christel Sassou N’Guesso » alors que le débat devrait être orienté sur les grands problèmes auxquels le Congo fait face, à l’instar de la crise économique. « …un pays pour avancer n’a pas besoin de telles bassesses. Nous, on est plus dans des débats de caniveau », a conclu le coordonnateur de l’Initiative avant d’inviter les détracteurs à rejoindre leurs rangs pour apporter leur pierre à l’édifice Congo.