Les présidents et secrétaires généraux des partis politiques réunis le 10 juillet 2019 à la Présidence du Tchad. Illustration. © PR
Après la démission du député de l’UNDR, Adoum Djibrine Katir, les dissensions refont surface dans l’opposition tchadienne. Le verre amical devient inamical, chacun tire le drap de son côté. Dans cette guerre de positionnement, le perdant ne restera-t-il pas toujours le peuple au nom duquel ces politiques s’acharnent ? Et si le but de ce combat est le bien-être du peuple, pourquoi ne pas s’unir ?
Même si en politique le vrai et le faux portent le même pagne comme l’a dit Hamadou Kourouma, il y aura toutefois un moment où l’un doit quitter l’autre pour une bonne cause. Chose rare dans la classe politique tchadienne.
Ceux qui étaient hier tous contre Idriss Déby Itno parce que disent-ils, Déby fait le malheur des tchadiens, ne parlent plus le même langage pour une question d’intérêt personnel passant à gauche l’intérêt du peuple qui était le centre de leurs préoccupations.
La guerre froide ouverte entre Saleh Kebzabo et Romadoumngar Felix permettra simplement à la majorité de tirer son épingle du jeu. Puisque sans péril, l’on triomphe sans gloire donc le MPS ne pourra que gagner haut les mains. Le comble est que ça n’arrange pas la démocratie qui veut une construction. C’est dommage.
Avec tout ce qui gangrène l’atmosphère politique, les élections législatives et locales tant attendues ne seront-elles pas un acquis pour le Raïs ?
Dans un pays démocratique le dialogue reste le seul moyen efficace et efficient pour la résolution des différends. Pourquoi l’opposition tchadienne n’organise-t-elle pas un dialogue pour mettre un terme à ces dissensions qui ne l’honore pas ? Cette opposition réclame jusqu’aujourd’hui un dialogue inclusif pour sortir le Tchad de son anémie multidimensionnelle. Qu’en est-il de son sort actuellement ?
Il est vraiment nécessaire quelques fois que nos politiques s’arrêtent un instant pour se mettre à penser que le pays a besoin d’une synergie d’action.
La bataille sur ‘’qui est le vrai chef de file de l’opposition’’ continue à diviser pendant des mois et à déchirer l’opposition. Juste pour savoir qui commande, l’opposition s’autodétruit pendant que le MPS prépare les élections sans obstacles. Bien que n’ayant pas préparée les élections, l’opposition reviendra après pleurnicher qu'elles ont été truquées d’avance. Si l’on passe tout son temps à chanter en été, que pourra-t-on récolter en hiver.
Même si en politique le vrai et le faux portent le même pagne comme l’a dit Hamadou Kourouma, il y aura toutefois un moment où l’un doit quitter l’autre pour une bonne cause. Chose rare dans la classe politique tchadienne.
Ceux qui étaient hier tous contre Idriss Déby Itno parce que disent-ils, Déby fait le malheur des tchadiens, ne parlent plus le même langage pour une question d’intérêt personnel passant à gauche l’intérêt du peuple qui était le centre de leurs préoccupations.
La guerre froide ouverte entre Saleh Kebzabo et Romadoumngar Felix permettra simplement à la majorité de tirer son épingle du jeu. Puisque sans péril, l’on triomphe sans gloire donc le MPS ne pourra que gagner haut les mains. Le comble est que ça n’arrange pas la démocratie qui veut une construction. C’est dommage.
Avec tout ce qui gangrène l’atmosphère politique, les élections législatives et locales tant attendues ne seront-elles pas un acquis pour le Raïs ?
Dans un pays démocratique le dialogue reste le seul moyen efficace et efficient pour la résolution des différends. Pourquoi l’opposition tchadienne n’organise-t-elle pas un dialogue pour mettre un terme à ces dissensions qui ne l’honore pas ? Cette opposition réclame jusqu’aujourd’hui un dialogue inclusif pour sortir le Tchad de son anémie multidimensionnelle. Qu’en est-il de son sort actuellement ?
Il est vraiment nécessaire quelques fois que nos politiques s’arrêtent un instant pour se mettre à penser que le pays a besoin d’une synergie d’action.
La bataille sur ‘’qui est le vrai chef de file de l’opposition’’ continue à diviser pendant des mois et à déchirer l’opposition. Juste pour savoir qui commande, l’opposition s’autodétruit pendant que le MPS prépare les élections sans obstacles. Bien que n’ayant pas préparée les élections, l’opposition reviendra après pleurnicher qu'elles ont été truquées d’avance. Si l’on passe tout son temps à chanter en été, que pourra-t-on récolter en hiver.