Depuis le 4 janvier 2019, la milice de la dictature djiboutienne d’Haramous a kidnappé manu militari les deux sages de la communauté Yonis Moussa (Mr Omar Robleh Igal et Abdourahman Moussa Badar dit Abdi haji) dans leurs domiciles du quartier de Balbala.
Qu’ont –ils commis pour être ainsi traiter de la sorte ?
Ces deux sages parmi d’autres de la communauté Yonis Moussa ont seulement fais part de leurs doléances à maintes reprises au gouvernement djiboutien sourd et aveugle sur la tragédie horrible et inoubliable du 21 décembre 2015 dans la petite bourgade Buldhuqo non loin du quartier de Balbala, pour que justice soit faite et que les familles des victimes soient dédommagées.
Qu’a été la réponse de la dictature de Haramous, si ce n’est qu’harcèlements, intimidations, séquestrations voire interdire les djiboutiennes de cette communauté d’entreprendre quel que soit les démarches administratives (travail ; santé, éducation…etc.).
La dictature djiboutienne étend ses menaces sur les pauvres djiboutiens de la communauté Yonis Moussa en expropriant leurs biens à savoir la station de carburant de la grande famille djiboutienne ALI GUURE (AUN) qui est depuis mai 2017 la vache à lait de la mafia d’Haramous en privant l’héritage du défunt à ses enfants de vivre de plein droit de leurs biens.
Tout ceci est orchestré par un système mafieux à la tête d’Ismaêl Omar Guelleh et de son épouse machiavélique Kadra Odette Haid qui se nourrissent sur le dos du peuple djiboutien agonisant.
Mais la justice divine est sur le point de faire volt-face, car bientôt tous les avoirs cachées de la dictature djiboutienne seront gelés et ils seront jugés pour détournements de bien publics, crime contre l’humanité.
La cour européenne des droits de l’Homme, Human Rights Watch ainsi que d’autres organisations gouvernementales et non gouvernementales ont été saisis pour mettre fin au calvaire du peuple djiboutien exercé par une dictature en fin de règne.
Qu’ont –ils commis pour être ainsi traiter de la sorte ?
Ces deux sages parmi d’autres de la communauté Yonis Moussa ont seulement fais part de leurs doléances à maintes reprises au gouvernement djiboutien sourd et aveugle sur la tragédie horrible et inoubliable du 21 décembre 2015 dans la petite bourgade Buldhuqo non loin du quartier de Balbala, pour que justice soit faite et que les familles des victimes soient dédommagées.
Qu’a été la réponse de la dictature de Haramous, si ce n’est qu’harcèlements, intimidations, séquestrations voire interdire les djiboutiennes de cette communauté d’entreprendre quel que soit les démarches administratives (travail ; santé, éducation…etc.).
La dictature djiboutienne étend ses menaces sur les pauvres djiboutiens de la communauté Yonis Moussa en expropriant leurs biens à savoir la station de carburant de la grande famille djiboutienne ALI GUURE (AUN) qui est depuis mai 2017 la vache à lait de la mafia d’Haramous en privant l’héritage du défunt à ses enfants de vivre de plein droit de leurs biens.
Tout ceci est orchestré par un système mafieux à la tête d’Ismaêl Omar Guelleh et de son épouse machiavélique Kadra Odette Haid qui se nourrissent sur le dos du peuple djiboutien agonisant.
Mais la justice divine est sur le point de faire volt-face, car bientôt tous les avoirs cachées de la dictature djiboutienne seront gelés et ils seront jugés pour détournements de bien publics, crime contre l’humanité.
La cour européenne des droits de l’Homme, Human Rights Watch ainsi que d’autres organisations gouvernementales et non gouvernementales ont été saisis pour mettre fin au calvaire du peuple djiboutien exercé par une dictature en fin de règne.