Simon Koitoua.
A satisfaire systématiquement et à en faire les centres du commandement de la seleka un fond de commerce les violences sur la population lambda devant permettre à Michel Djotodia d’avoir un rallonge sur la durée de transition, notre société n’a jamais cette culture de violence produit depuis plus de huit mois des jeunes qui supportent très mal les humiliations et frustrations qui provoquent directement la révolution en la Centrafricaine comme c’est le cas dans plusieurs villes du pays . D’après le haut responsable de l’armée de la seleka à Bangui qui a requis l’anonymat pour des raisons de sécurité la violence augmente presque partout, les patrouilles sont moins nombreuses, et le taux de mouvement de troupe de la seleka à baissé d’intensité, la situation est intenable ils sont dépassés. Existe-t-il des solutions immédiates oui bien -sur une chose à retenir Paix en Centrafrique=Démission de DJOTODIA=Retrait des troupes Tchadiennes =Délogement de la Nébuleuse seleka tout doucement en Catimini ne le dit à personne. Il est les causes profondes à l'emballement des actes de violences et d’incivisme dans tout le pays, la population demande la démission des autorités actuelles elles en ont marre, tout le monde souhaite son départ. Mais les risques en effet de rester au sommet de l’Etat sont des choses, qui alimentent d’inutiles polémiques et surtout d’aborder les problèmes de fond dépassant, d’ailleurs les divers clivages politiques. Concernant les phénomènes de violence, il est facile que Djotodia démission pour trahison et incompétence. Mais au sein du gouvernement transition actuel certains Ministres sont d’avis, ils le savent très bien il serait bien d’organiser la transition sans Djotodia au nom de la paix.
Aujourd’hui en Centrafrique il n’y a qu’une loi, celle de l’enrichissement maximum via la violence, exercée à l’aide des pillages commandé par les seigneurs de guerre de Darfour la seleka. Cette culture qui tend à s’imposer en Centrafrique et c’est l’œuvre des chefs de guerres que l’on trouve au Soudan et Tchad, et est également aidée par une culture toute Tchadienne de l’impunité.
Ainsi débute la révolution Centrafricaine, il est temps que tous les jeunes s’organisent avec les moyens de bords dans toutes les préfectures de la Centrafrique pour opposer une farouches résistances à la seleka qui tue ,pille et assassine nos paisibles populations. L’heure de la victoire a sonnée pour enfin bouter la seleka hors de la Centrafrique mes compatriotes le prix de la liberté c’est la souffrance. Nos aînés les vraies Forces Armées Centrafricaines nous ont abandonné, non assistance en personne en danger (Lieutenant Koudoukou).
Simon koitoua
"Une culture toute Tchadienne de l’impunité"
Aujourd’hui en Centrafrique il n’y a qu’une loi, celle de l’enrichissement maximum via la violence, exercée à l’aide des pillages commandé par les seigneurs de guerre de Darfour la seleka. Cette culture qui tend à s’imposer en Centrafrique et c’est l’œuvre des chefs de guerres que l’on trouve au Soudan et Tchad, et est également aidée par une culture toute Tchadienne de l’impunité.
Ainsi débute la révolution Centrafricaine, il est temps que tous les jeunes s’organisent avec les moyens de bords dans toutes les préfectures de la Centrafrique pour opposer une farouches résistances à la seleka qui tue ,pille et assassine nos paisibles populations. L’heure de la victoire a sonnée pour enfin bouter la seleka hors de la Centrafrique mes compatriotes le prix de la liberté c’est la souffrance. Nos aînés les vraies Forces Armées Centrafricaines nous ont abandonné, non assistance en personne en danger (Lieutenant Koudoukou).
Simon koitoua