04-01-2008. L'ancien ministre de la Défense tchadien est dans un état critique. Mahamat Nour Abdelkérim se plaint de douleurs atroces qui le maintiennent cloué au lit depuis une semaine. Sa santé s'est sérieusement dégradée ces derniers jours faute de soins. L'ex-ministre a cherché à contacter des médecins à N'Djamena en vue d'une consultation au sein de l'ambassade de Libye où il se trouve mais en vain. Tous les médecins contactés « craignent » qu'un déplacement éventuel à l'ambassade libyenne ait de répercussions sur eux, voire sur l'« avenir » de leur métier.
Les activités physiques de Mahamat Nour Abdelkérim sont quasi-nulles. Les conditions dans lesquelles il se trouve hébergé sont dignes d'une incarcération. Privé de liberté et de tout mouvement depuis plus d'un mois, l'ex-ministre souffre d'une hypertension artérielle consécutive aux épreuves qu'il a traversées ces derniers temps. D'autres séquelles dues à l' « empoisonnement » dont il aurait été victime il y a trois mois se manifestent.
L'ancien ministre sollicite vivement la Croix Rouge (tchadienne, française ou internationale) pour une intervention sanitaire d'urgence. Aujourd'hui alité, le patient qui a trouvé refuge dans l'enceinte de l'ambassade de Libye fin novembre 2007 souhaite obtenir des autorités tchadiennes le droit d'être consulté par les médecins sans qu'il leur arrive malheur. Il sollicite également l'intervention de Médecins Sans Frontière pour « subir un diagnostic et un bilan de santé. »
Kébir
Les activités physiques de Mahamat Nour Abdelkérim sont quasi-nulles. Les conditions dans lesquelles il se trouve hébergé sont dignes d'une incarcération. Privé de liberté et de tout mouvement depuis plus d'un mois, l'ex-ministre souffre d'une hypertension artérielle consécutive aux épreuves qu'il a traversées ces derniers temps. D'autres séquelles dues à l' « empoisonnement » dont il aurait été victime il y a trois mois se manifestent.
L'ancien ministre sollicite vivement la Croix Rouge (tchadienne, française ou internationale) pour une intervention sanitaire d'urgence. Aujourd'hui alité, le patient qui a trouvé refuge dans l'enceinte de l'ambassade de Libye fin novembre 2007 souhaite obtenir des autorités tchadiennes le droit d'être consulté par les médecins sans qu'il leur arrive malheur. Il sollicite également l'intervention de Médecins Sans Frontière pour « subir un diagnostic et un bilan de santé. »
Kébir