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L’Ambassade des Etats-Unis d’Amérique au Tchad a offert un financement à dix organisations de la société civile du Tchad. Le coût de ces financements s’élève à 665 000 $, soit 360 000 000F CFA. Compte rendu.
Dans un pays, comme le Tchad, confronté à de multiples défis tels que la formation, l'emploi et l''entrepreneuriat, des initiatives personnelles de développement sont un atout indéniable. Les Etats-Unis d’Amérique le savent certainement mieux que quiconque. « Ce sont les petits projets qui sont des initiatives locales, vraiment à la base, que nous voulons encourager car, nous autres Américains, nous sommes convaincus du rôle curial de la société civile », a précisé le chargé des affaires à l’Ambassade des USA, Richard Bell, lors de la cérémonie de signature des conventions avec les dix associations attributaires desdits financements.
Le but de ce financement vise aussi à susciter l’altruisme dans des actions citoyennes. Car, pour Richard Bell, « l’engagement des citoyens qui s’organisent d’eux-mêmes pour faire avancer leurs intérêts communs est un facteur essentiel de la réussite de toute société qui se veut libre ». A titre, d’exemple, Richard Bell reconnait que le gouvernement américain dispose des capacités énormes, mais que « un facteur clé de la réussite des Etats-Unis d’Amérique a toujours été le dynamisme de la société civile ».
Ces projets, qui ont séduit l’Ambassade des USA au Tchad parmi tant d’autres, sont répartis dans six (6) provinces du Tchad et touchent divers domaines, à savoir l’éducation, l’agriculture et la sécurité alimentaire, l’infrastructure sanitaire, l’artisanat, l’aide aux réfugiés, et la participation politique. Le chargé des affaires dit que l’équipe de sélection a jugé les porteurs de ces projets capables, crédibles et ayant le sens de la responsabilité nécessaire pour les mener à bien.
L'un des projets qui a retenu l’attention de l’Ambassade des USA, porté par une femme, est axé sur la formation des femmes réfugiées et leur participation politique. Par ces temps, il est lieu de tels initiatives soient les leitmotive des jeunes pour contrecarrer les fléaux du siècle dus au chômage (consommation des drogues, terrorisme, délinquance, exode rural, prostitution, etc.)
Dans un pays, comme le Tchad, confronté à de multiples défis tels que la formation, l'emploi et l''entrepreneuriat, des initiatives personnelles de développement sont un atout indéniable. Les Etats-Unis d’Amérique le savent certainement mieux que quiconque. « Ce sont les petits projets qui sont des initiatives locales, vraiment à la base, que nous voulons encourager car, nous autres Américains, nous sommes convaincus du rôle curial de la société civile », a précisé le chargé des affaires à l’Ambassade des USA, Richard Bell, lors de la cérémonie de signature des conventions avec les dix associations attributaires desdits financements.
Le but de ce financement vise aussi à susciter l’altruisme dans des actions citoyennes. Car, pour Richard Bell, « l’engagement des citoyens qui s’organisent d’eux-mêmes pour faire avancer leurs intérêts communs est un facteur essentiel de la réussite de toute société qui se veut libre ». A titre, d’exemple, Richard Bell reconnait que le gouvernement américain dispose des capacités énormes, mais que « un facteur clé de la réussite des Etats-Unis d’Amérique a toujours été le dynamisme de la société civile ».
Ces projets, qui ont séduit l’Ambassade des USA au Tchad parmi tant d’autres, sont répartis dans six (6) provinces du Tchad et touchent divers domaines, à savoir l’éducation, l’agriculture et la sécurité alimentaire, l’infrastructure sanitaire, l’artisanat, l’aide aux réfugiés, et la participation politique. Le chargé des affaires dit que l’équipe de sélection a jugé les porteurs de ces projets capables, crédibles et ayant le sens de la responsabilité nécessaire pour les mener à bien.
L'un des projets qui a retenu l’attention de l’Ambassade des USA, porté par une femme, est axé sur la formation des femmes réfugiées et leur participation politique. Par ces temps, il est lieu de tels initiatives soient les leitmotive des jeunes pour contrecarrer les fléaux du siècle dus au chômage (consommation des drogues, terrorisme, délinquance, exode rural, prostitution, etc.)