Maputo, capitale du Mozambique, a été le théâtre d'une violente passe d'armes opposant les délégations marocaine et japonaise à celle du polisario soutenue par les responsables mozambicains.
En effet, le 24 août 2017, Maputo devait organiser une réunion de suivi de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l'Afrique (TICAD), à laquelle les pays invités, en plus du pays hôte (Mozambique) était au nombre de 53 Etats africains.
Comme à son habitude, les polisariens, conduits par le dénommé Mohamed Ould Salek, cherchait à forcer le passage vers la salle de conférence.
C'était sans compter sur la grande vigilance de la délégation marocaine qui a protesté contre la présence d'un pseudo Etat, non reconnu par les organisations internationales, l'Organisation des Nations Unies (ONU) ou l'Union Européenne (UE) et encore moins par le Japon, co-parrain avec l'ONU d'un plan sans pareil de développement pour l'Afrique.
Ainsi, après plusieurs heures de débats, les autorités de Maputo, soutien historique de l’Algérie et du polisario, ont-elles décidé d’agir de manière unilatérale, ordonnant à leurs forces de sécurité, y compris des éléments en tenue militaire, d’agresser des membres des délégations japonaise et marocaine, en violation totale avec les règles et les procédures régissant les conférences et les réunions multilatérales.
Mieux encore, le Ministre mozambicain des Affaires Etrangères, allié inconditionnel des adversaires du Maroc, a introduit les mercenaires dans sa délégation, par une porte dérobée et leur a offert des sièges réservés au Mozambique, les terro-polisariens s’étant ainsi dilués dans la délégation du pays hôte.
Le Ministre marocain des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Monsieur Nasser Bourita, a eu, le 25 août 2017, un entretien avec son homologue japonais, Monsieur Kono Taro, au cours duquel le responsable japonais a vivement condamné ces incidents et fait part de son grand étonnement concernant le fait que les autorités du Mozambique aient contourné les procédures d’accès pour faire introduire les membres non invités du "polisario" par une porte dérobée, tout en refusant l'accès à des délégations disposant de badges et dûment accréditées ; même des membres de l'ambassade du Japon ont été brutalisés.
C'est pourquoi, le responsable japonais a indiqué que ce scandale organisé par Maputo pose un grave problème de sécurité et que le Japon oeuvrera pour mettre un terme définitif à ce problème organisationnel.
Ainsi, malgré la tentative du Mozambique de faire participer au TICAD les terro-polisariens a pu être déjouée grâce à la vigilance de la délégation marocaine, et la photographie de famille officielle est largement parlante. La photographie officielle du TICAD n'immortalise, en effet, que les délégations officielles invitées par le Japon à participer à cette réunion : une nouvelle victoire diplomatique du Maroc.
En effet, le 24 août 2017, Maputo devait organiser une réunion de suivi de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l'Afrique (TICAD), à laquelle les pays invités, en plus du pays hôte (Mozambique) était au nombre de 53 Etats africains.
Comme à son habitude, les polisariens, conduits par le dénommé Mohamed Ould Salek, cherchait à forcer le passage vers la salle de conférence.
C'était sans compter sur la grande vigilance de la délégation marocaine qui a protesté contre la présence d'un pseudo Etat, non reconnu par les organisations internationales, l'Organisation des Nations Unies (ONU) ou l'Union Européenne (UE) et encore moins par le Japon, co-parrain avec l'ONU d'un plan sans pareil de développement pour l'Afrique.
Ainsi, après plusieurs heures de débats, les autorités de Maputo, soutien historique de l’Algérie et du polisario, ont-elles décidé d’agir de manière unilatérale, ordonnant à leurs forces de sécurité, y compris des éléments en tenue militaire, d’agresser des membres des délégations japonaise et marocaine, en violation totale avec les règles et les procédures régissant les conférences et les réunions multilatérales.
Mieux encore, le Ministre mozambicain des Affaires Etrangères, allié inconditionnel des adversaires du Maroc, a introduit les mercenaires dans sa délégation, par une porte dérobée et leur a offert des sièges réservés au Mozambique, les terro-polisariens s’étant ainsi dilués dans la délégation du pays hôte.
Le Ministre marocain des Affaires Etrangères et de la Coopération Internationale, Monsieur Nasser Bourita, a eu, le 25 août 2017, un entretien avec son homologue japonais, Monsieur Kono Taro, au cours duquel le responsable japonais a vivement condamné ces incidents et fait part de son grand étonnement concernant le fait que les autorités du Mozambique aient contourné les procédures d’accès pour faire introduire les membres non invités du "polisario" par une porte dérobée, tout en refusant l'accès à des délégations disposant de badges et dûment accréditées ; même des membres de l'ambassade du Japon ont été brutalisés.
C'est pourquoi, le responsable japonais a indiqué que ce scandale organisé par Maputo pose un grave problème de sécurité et que le Japon oeuvrera pour mettre un terme définitif à ce problème organisationnel.
Ainsi, malgré la tentative du Mozambique de faire participer au TICAD les terro-polisariens a pu être déjouée grâce à la vigilance de la délégation marocaine, et la photographie de famille officielle est largement parlante. La photographie officielle du TICAD n'immortalise, en effet, que les délégations officielles invitées par le Japon à participer à cette réunion : une nouvelle victoire diplomatique du Maroc.