Selon la publication, Khartoum "a demandé à l'UA de ne pas prendre contact avec le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies au Soudan".
Vendredi dernier, le ministère soudanais des Affaires étrangères a publié un communiqué spécial déclarant M. Pertes personne indésirable dans le pays.
Auparavant, le général Abdel Fattah al-Burhan, a adressé une lettre à Antonio Guterres, exigeant le remplacement du chef de la mission onusienne. Selon le chef de l'armée soudanaise, "la présence de M. Pertes à la tête de la mission de l'ONU au Soudan ne contribue pas à l'accomplissement de ses tâches et constitue une source de conséquences négatives pour l'ONU". Le président Al-Burhan estime que le représentant spécial de Guterres "a désinformé l'ONU en affirmant qu'il existe un consensus entre les parties soudanaises sur un accord-cadre pour un règlement dans le pays".
De son côté, M. Guterres a catégoriquement refusé cette demande, comme il l'a fait savoir au Conseil de sécurité, lors de consultations à huis clos la semaine dernière.
Dans ce contexte de refus, l'alternative aurait été de modifier la mission de l'ONU, une décision qui ne peut être prise que par le Conseil de sécurité de l'ONU.
Vendredi dernier, le ministère soudanais des Affaires étrangères a publié un communiqué spécial déclarant M. Pertes personne indésirable dans le pays.
Auparavant, le général Abdel Fattah al-Burhan, a adressé une lettre à Antonio Guterres, exigeant le remplacement du chef de la mission onusienne. Selon le chef de l'armée soudanaise, "la présence de M. Pertes à la tête de la mission de l'ONU au Soudan ne contribue pas à l'accomplissement de ses tâches et constitue une source de conséquences négatives pour l'ONU". Le président Al-Burhan estime que le représentant spécial de Guterres "a désinformé l'ONU en affirmant qu'il existe un consensus entre les parties soudanaises sur un accord-cadre pour un règlement dans le pays".
De son côté, M. Guterres a catégoriquement refusé cette demande, comme il l'a fait savoir au Conseil de sécurité, lors de consultations à huis clos la semaine dernière.
Dans ce contexte de refus, l'alternative aurait été de modifier la mission de l'ONU, une décision qui ne peut être prise que par le Conseil de sécurité de l'ONU.