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Selon une fuite d'information d'une réunion classée secret d'Etat tenue dans la matinée du dimanche 15 février 2015 à N'Djamena par les Conseillers Spéciaux et les Généraux du centre stratégique de décision, le conseil aurait soumis au chef d'Etat major et à la présidence une proposition allant dans le sens de mettre en quarantaine le nord Nigéria afin de neutraliser les bastions de la secte boko haram. "Cette stratégie a marché en 2008, ce qui a permit aux forces tchadiennes de repousser l'attaque des rebelles dans la capitale N'djamena et nous croyons fermement que cette méthode sera efficace au Nord Nigéria, surtout qu'il s'agit de combattre des terroristes en ville" a souligné une source militaire proche du conseil.
Pour rappel, cette méthode de mise en quarantaine qui serait probablement de courte durée, est en réalité, une stratégie de combat utilisée régulièrement par l'armée tchadienne quant il s'agit d'un affrontement dans une ville. Elle consiste à repérer tous les issus des villes occupées par les ennemis et de déployer un nombre important de forces suréquipées avec une forte puissance de feu relativement dissuasive qui empêcherait les civiles d'évacuer les lieux et d'éviter une éventuelle évasion des ennemis parmi ceux-ci afin de permettre aux tireurs d'élites, des escadrons blindés, des hélicoptères de pilonner de manière intensive les villes avec, à la fois des armes lourdes et légères jusqu'au désistement des combattants ennemis. Le ramassage des cadavres est interdit jusqu'à la décomposition avancée des corps dans les villes pour démoraliser les civiles qui au finish finiront de dénoncer les ennemis.
Cette méthode respecte rarement voir pas les normes de combat ordinaire et les droits de l'Homme. Puisque dans cette opération, un attroupement de plus de trois personnes est considéré systématique comme une menace, et vu que le temps que disposent les forces pour vérifier l'identité des personnes est limité et que le doute est banni, les dégâts seront forcement conséquents. "A défaut d'identification, il faut éliminer" est le premier ordre que reçoivent les soldats avant de débarquer sur le terrain. Ces genres d'opération est utilisé qu'au dernier recours pour neutraliser l'ennemi par le concours des civiles démoralisés et lassés des assauts. Espérons que le Tchad ne va pas user de sa position de force dans le combat pour contraindre les autorités nigériane à l'autoriser à mettre en œuvre cette opération "le quarantaine".
Pour rappel, cette méthode de mise en quarantaine qui serait probablement de courte durée, est en réalité, une stratégie de combat utilisée régulièrement par l'armée tchadienne quant il s'agit d'un affrontement dans une ville. Elle consiste à repérer tous les issus des villes occupées par les ennemis et de déployer un nombre important de forces suréquipées avec une forte puissance de feu relativement dissuasive qui empêcherait les civiles d'évacuer les lieux et d'éviter une éventuelle évasion des ennemis parmi ceux-ci afin de permettre aux tireurs d'élites, des escadrons blindés, des hélicoptères de pilonner de manière intensive les villes avec, à la fois des armes lourdes et légères jusqu'au désistement des combattants ennemis. Le ramassage des cadavres est interdit jusqu'à la décomposition avancée des corps dans les villes pour démoraliser les civiles qui au finish finiront de dénoncer les ennemis.
Cette méthode respecte rarement voir pas les normes de combat ordinaire et les droits de l'Homme. Puisque dans cette opération, un attroupement de plus de trois personnes est considéré systématique comme une menace, et vu que le temps que disposent les forces pour vérifier l'identité des personnes est limité et que le doute est banni, les dégâts seront forcement conséquents. "A défaut d'identification, il faut éliminer" est le premier ordre que reçoivent les soldats avant de débarquer sur le terrain. Ces genres d'opération est utilisé qu'au dernier recours pour neutraliser l'ennemi par le concours des civiles démoralisés et lassés des assauts. Espérons que le Tchad ne va pas user de sa position de force dans le combat pour contraindre les autorités nigériane à l'autoriser à mettre en œuvre cette opération "le quarantaine".