Le RENFORT a été lancé le 4 avril 2023 à l'hôtel de l'amitié de N'Djamena. Selon le Secrétaire d'Etat à la production, Abakar Ramadan, représentant du ministre de la production et de transformation agricole, la production agro-sylvo-pastorale et halieutique est l'activité économique principale au Tchad, occupant plus de 85% de la population et fournissant l'essentiel des denrées alimentaires à l'ensemble de la population. Cependant, le secteur est confronté à plusieurs contraintes, notamment en ce qui concerne les femmes et les jeunes.
Ces contraintes ont été identifiées à l'aide d'une approche inclusive impliquant les acteurs clés. Ces derniers, appuyés par les experts du Fond international pour le développement agricole (FIDA), ont analysé les contraintes qui bloquent l'épanouissement de ces deux catégories d'acteurs. Il s'agit notamment de la faible productivité des facteurs de production, de l'accès très faible aux facteurs de production et aux innovations, du faible niveau d'investissement public et privé dans le secteur de la transformation des produits agricoles, de l'élevage, de la pêche et des produits forestiers non ligneux, de l'enclavement des bassins de production et du manque d'infrastructures de commercialisation.
Le projet RENFORT interviendra sur une période de six ans dans les zones rurales de neuf provinces : Lac, Hadjer-Lamis, Chari-Baguirmi, Mayo-Kebbi Est, Moyen-Chari, Mandoul, Tandjilé, Salamat et N'Djaména. Il visera à promouvoir des entreprises viables et résilientes de jeunes et de femmes, créatrices d'emplois et intégrées dans les chaînes de valeurs agropastorales et halieutiques du Tchad.
Il est important de souligner que la persistance des contraintes citées ci-dessus a des conséquences néfastes sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle, entraînant un cycle récurrent de crises alimentaires et nutritionnelles, accentuées par la pauvreté rurale rampante.
Ces contraintes ont été identifiées à l'aide d'une approche inclusive impliquant les acteurs clés. Ces derniers, appuyés par les experts du Fond international pour le développement agricole (FIDA), ont analysé les contraintes qui bloquent l'épanouissement de ces deux catégories d'acteurs. Il s'agit notamment de la faible productivité des facteurs de production, de l'accès très faible aux facteurs de production et aux innovations, du faible niveau d'investissement public et privé dans le secteur de la transformation des produits agricoles, de l'élevage, de la pêche et des produits forestiers non ligneux, de l'enclavement des bassins de production et du manque d'infrastructures de commercialisation.
Le projet RENFORT interviendra sur une période de six ans dans les zones rurales de neuf provinces : Lac, Hadjer-Lamis, Chari-Baguirmi, Mayo-Kebbi Est, Moyen-Chari, Mandoul, Tandjilé, Salamat et N'Djaména. Il visera à promouvoir des entreprises viables et résilientes de jeunes et de femmes, créatrices d'emplois et intégrées dans les chaînes de valeurs agropastorales et halieutiques du Tchad.
Il est important de souligner que la persistance des contraintes citées ci-dessus a des conséquences néfastes sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle, entraînant un cycle récurrent de crises alimentaires et nutritionnelles, accentuées par la pauvreté rurale rampante.