Paul Wadana était un fils, un frère et un père au sein de la communauté Banana. Originaire de Yamlhokka, dans la sous-préfecture de Holom-Gamé, il a marqué son empreinte dans la vie de ses proches.
« Je retiens après presque trois décennies rapports professionnels : tu as été et est resté le même à travers une humilité, une simplicité, un chef charismatique et surtout d'une probité et dignité irréprochable. Bref, un vrai juge partout là où tu as servi », se souvient Hisseine Ngaro.
« Son engagement envers sa communauté était remarquable. Toujours prêt à tendre la main, Paul était un pilier de soutien pour ceux qui avaient besoin de lui. Il croyait fermement en l'importance de l'entraide et de la solidarité, et il vivait ces valeurs chaque jour. Aujourd'hui, nous pleurons sa perte, mais nous devons aussi nous rappeler de célébrer sa vie. Paul nous a laissé un héritage d'amour, de générosité et de résilience. Son esprit vivra en chacun de nous, dans nos actes et nos pensées, comme une lumière éternelle qui ne s'éteindra jamais », a relevé Princess Marlen.
« Va en paix mon frère Paul Wadana ! », a écrit le ministre des affaires étrangères, Abderaman Koulamallah.
« Je retiens après presque trois décennies rapports professionnels : tu as été et est resté le même à travers une humilité, une simplicité, un chef charismatique et surtout d'une probité et dignité irréprochable. Bref, un vrai juge partout là où tu as servi », se souvient Hisseine Ngaro.
« Son engagement envers sa communauté était remarquable. Toujours prêt à tendre la main, Paul était un pilier de soutien pour ceux qui avaient besoin de lui. Il croyait fermement en l'importance de l'entraide et de la solidarité, et il vivait ces valeurs chaque jour. Aujourd'hui, nous pleurons sa perte, mais nous devons aussi nous rappeler de célébrer sa vie. Paul nous a laissé un héritage d'amour, de générosité et de résilience. Son esprit vivra en chacun de nous, dans nos actes et nos pensées, comme une lumière éternelle qui ne s'éteindra jamais », a relevé Princess Marlen.
« Va en paix mon frère Paul Wadana ! », a écrit le ministre des affaires étrangères, Abderaman Koulamallah.