La nouvelle Constitution fait basculer le Togo d’un régime semi-présidentiel à un régime parlementaire. L’élection du président de la République au suffrage direct est désormais supprimée.
Il y a la création du poste de “Président du Conseil des ministres”. Ce poste centralise tous les pouvoirs et sera occupé par le chef du parti majoritaire à l’Assemblée nationale. Le véritable exercice du pouvoir réside entre les mains de ce “super-Premier ministre”.
Selon les termes de la nouvelle Constitution, le président de la République est privé de toute prérogative. Les députés éliront désormais le chef de l’État “sans débat” et “pour un mandat de quatre ans renouvelable une fois”.
Pour certains, cette réforme marque une avancée vers une démocratie plus inclusive et participative. Cependant, l’opposition considère cette nouvelle fonction de “Président du Conseil des ministres” comme une manœuvre du président Faure Gnassingbé pour se maintenir au pouvoir. Faure Gnassingbé, qui a pris la tête de l’État en 2005, est accusé de chercher à prolonger son règne.
En somme, le Togo ouvre une nouvelle page de son histoire politique, mais les débats et les controverses ne sont pas près de s’éteindre. La nouvelle Constitution doit encore être promulguée par le président Faure Gnassingbé pour entrer en vigueur.
Il y a la création du poste de “Président du Conseil des ministres”. Ce poste centralise tous les pouvoirs et sera occupé par le chef du parti majoritaire à l’Assemblée nationale. Le véritable exercice du pouvoir réside entre les mains de ce “super-Premier ministre”.
Selon les termes de la nouvelle Constitution, le président de la République est privé de toute prérogative. Les députés éliront désormais le chef de l’État “sans débat” et “pour un mandat de quatre ans renouvelable une fois”.
Pour certains, cette réforme marque une avancée vers une démocratie plus inclusive et participative. Cependant, l’opposition considère cette nouvelle fonction de “Président du Conseil des ministres” comme une manœuvre du président Faure Gnassingbé pour se maintenir au pouvoir. Faure Gnassingbé, qui a pris la tête de l’État en 2005, est accusé de chercher à prolonger son règne.
En somme, le Togo ouvre une nouvelle page de son histoire politique, mais les débats et les controverses ne sont pas près de s’éteindre. La nouvelle Constitution doit encore être promulguée par le président Faure Gnassingbé pour entrer en vigueur.