FADOUL SOULEYMAN
Depuis longtemps le baccalauréat au Tchad a été une bête noire et un long chemin plein d obstacles pour les jeunes tchadiens. On demande souvent aux jeunes de donner l’impossible,sinon comment expliquons nous le manque depuis l’école primaire d’enseignants, des documents, de suivi, et des conseils ciblés. A à cela s’ajoute un nombre important d’enseignants peu comptants et mal formés, sans tenir compte des grèves répétitives etc.…Penser que le baccalauréat se prépare seulement à partir de la terminale est une erreur fatale.
Vu toutes ces causes et en comparaison avec un étudiant au Doctorat qui, dans la plupart des cas dispose des sources d’informations non négligeables pour sa recherche, je peux affirmer que « le baccalauréat au Tchad est plus dur qu’un Doctorat ».
Aidons nos petits frères à se relever au lieu d’augmenter leurs cicatrices du jour au lendemain car leur avenir est celui de notre chère Nation. C’est avec ceux là que le Tchad aura la place qu’il faut. Il est donc déplorable que sur 60 000 candidats, seulement 9544 sont admis. A mon avis, nous ne devons pas nous vanter en disant que c’est un résultat qualitatif, mais au contraire, former un comité pour évaluer les causes réelles de ce résultat médiocre afin d’éviter un cycle infernal. Je souhaite que le message ai passé et que dans l’avenir ce pauvre pourcentage se verra augmenter. Je tiens à souligner que le résultat qualificatif dépend en grande partie de l’existence d’un corps d’enseignants compétents.
Chers jeunes frères et sœurs, ne vous découragez pas car notre Patrie a besoin de vous et en plus vous avez encore un long chemin plein de surprises à parcourir, soyez donc patients et persévérants.
Vu toutes ces causes et en comparaison avec un étudiant au Doctorat qui, dans la plupart des cas dispose des sources d’informations non négligeables pour sa recherche, je peux affirmer que « le baccalauréat au Tchad est plus dur qu’un Doctorat ».
Aidons nos petits frères à se relever au lieu d’augmenter leurs cicatrices du jour au lendemain car leur avenir est celui de notre chère Nation. C’est avec ceux là que le Tchad aura la place qu’il faut. Il est donc déplorable que sur 60 000 candidats, seulement 9544 sont admis. A mon avis, nous ne devons pas nous vanter en disant que c’est un résultat qualitatif, mais au contraire, former un comité pour évaluer les causes réelles de ce résultat médiocre afin d’éviter un cycle infernal. Je souhaite que le message ai passé et que dans l’avenir ce pauvre pourcentage se verra augmenter. Je tiens à souligner que le résultat qualificatif dépend en grande partie de l’existence d’un corps d’enseignants compétents.
Chers jeunes frères et sœurs, ne vous découragez pas car notre Patrie a besoin de vous et en plus vous avez encore un long chemin plein de surprises à parcourir, soyez donc patients et persévérants.