Trois récentes affaires viennent prouver une nouvelle fois l'implication du polisario dans le terrorisme international et la criminalité transnationale.
La première est relative à la saisie, le 30 janvier 2016, d'une importante quantité de drogue, dont deux tonnes cocaïne, en Mauritanie et la mise hors d'état de nuire de dizaines de trafiquants, dont des algériens et des membres du polisario ; une drogue qui devait être acheminée vers l'Europe en passant par les pays du Sahel et le désert algérien au moyen de véhicules tout-terrain.
Le deuxième affaire à trait à l'arrivée au Mali, début décembre 2015, de 09 jeunes sahraouis, dont une femme, depuis les camps de la honte de Tindouf pour rejoindre les rangs du groupe terroriste "Al Mourabitoune" de l'algérien Mokhtar Belmokhtar, dit le borgne.
Une arrivée qui confirme, si besoin est, les fortes relations entre les chefs polisariens et les terroristes qui s'activent librement en territoire algérien et trouvant en les camps des séquestrés sahraouis marocains un vivier fertile de candidats pour le jihad terroriste.
Enfin, la troisième affaire a été révélée, le 02 février 2016, avec le démantèlement par les Services de sécurité marocains d'une cellule terroristes en lien avec DAESH ET composée de 07 personnes qui s'activaient à Marrakech, Laayoune et Boujdour.
Selon les premiers éléments de l'enquête, ces individus projetaient de rejoindre les troupes d'Abou Bakr Al Baghdadi en Libye avec l'aide des terro-polisariens, grands spécialistes des réseaux du terrorisme, de contrebande et du crime organisé.
Ces terroristes cherchaient au préalable à se procurer des armes afin de perpétrer des attentats au Maroc.
En conclusion, il ne fait plus de doute que les polisariens entretiennent des relations avec les organisations terroristes et que nombre de jeunes sahraouis des camps de Tindouf ont été endoctrinés et initiés au terrorisme par les extrémistes, tel Adnane el Sahraoui, avec l'aval des dirigeants algériens.
Aussi, à quoi ce déploiement massif de soldats algériens le long de toutes ses frontières, si ce n'est de leur permettre de ponctionner leur quote-part sur les différents et juteux trafics de drogue, d'être humains, de marchandises de contrebande et d'aider à la déstabilisation de ses voisins en offrant une base arrière aux groupes terroristes. Un comportement digne d'un Etat voyou !
Qu'en pensent les sponsors du polisario ?
Farid Mnebhi.
La première est relative à la saisie, le 30 janvier 2016, d'une importante quantité de drogue, dont deux tonnes cocaïne, en Mauritanie et la mise hors d'état de nuire de dizaines de trafiquants, dont des algériens et des membres du polisario ; une drogue qui devait être acheminée vers l'Europe en passant par les pays du Sahel et le désert algérien au moyen de véhicules tout-terrain.
Le deuxième affaire à trait à l'arrivée au Mali, début décembre 2015, de 09 jeunes sahraouis, dont une femme, depuis les camps de la honte de Tindouf pour rejoindre les rangs du groupe terroriste "Al Mourabitoune" de l'algérien Mokhtar Belmokhtar, dit le borgne.
Une arrivée qui confirme, si besoin est, les fortes relations entre les chefs polisariens et les terroristes qui s'activent librement en territoire algérien et trouvant en les camps des séquestrés sahraouis marocains un vivier fertile de candidats pour le jihad terroriste.
Enfin, la troisième affaire a été révélée, le 02 février 2016, avec le démantèlement par les Services de sécurité marocains d'une cellule terroristes en lien avec DAESH ET composée de 07 personnes qui s'activaient à Marrakech, Laayoune et Boujdour.
Selon les premiers éléments de l'enquête, ces individus projetaient de rejoindre les troupes d'Abou Bakr Al Baghdadi en Libye avec l'aide des terro-polisariens, grands spécialistes des réseaux du terrorisme, de contrebande et du crime organisé.
Ces terroristes cherchaient au préalable à se procurer des armes afin de perpétrer des attentats au Maroc.
En conclusion, il ne fait plus de doute que les polisariens entretiennent des relations avec les organisations terroristes et que nombre de jeunes sahraouis des camps de Tindouf ont été endoctrinés et initiés au terrorisme par les extrémistes, tel Adnane el Sahraoui, avec l'aval des dirigeants algériens.
Aussi, à quoi ce déploiement massif de soldats algériens le long de toutes ses frontières, si ce n'est de leur permettre de ponctionner leur quote-part sur les différents et juteux trafics de drogue, d'être humains, de marchandises de contrebande et d'aider à la déstabilisation de ses voisins en offrant une base arrière aux groupes terroristes. Un comportement digne d'un Etat voyou !
Qu'en pensent les sponsors du polisario ?
Farid Mnebhi.