Après les mots de bienvenue du président français Emmanuel Macron, le chef de l'État a prononcé un discours important depuis la tribune du grand auditorium du Palais Brongniart.
Dans son allocution, le président Bazoum a souligné l'ambition de ce sommet, qui vise à parvenir à un consensus sur un Nouveau Pacte Financier Mondial afin de faire face à la crise multidimensionnelle qui a affaibli le système financier mondial et mis le monde en danger.
Le président Bazoum a ensuite exposé les enjeux de ce sommet pour un pays comme le Niger, en présentant sa vision stratégique qui concilie les objectifs de développement avec les défis actuels. Il a également partagé son expérience personnelle du changement climatique et de ses impacts sur la biodiversité et le pastoralisme, avec les conséquences naturelles telles que les crises migratoires et sécuritaires, exacerbées par les crises climatique, économique et démographique.
Le président Mohamed Bazoum a invité les décideurs présents au forum à trouver des solutions urgentes et pratiques, notamment en renforçant les capacités de financement des banques multilatérales de développement. Il est essentiel d'accroître les flux de capitaux vers ces banques afin d'amplifier leur capacité de financement.
"Nous devons abandonner les dogmes et les certitudes. Adoptons de nouveaux paradigmes, plus adaptés à notre réalité, qui est caractérisée par une dureté insupportable pour certains et des menaces certaines pour tous", a conclu le chef de l'État dans son discours.
Dans son allocution, le président Bazoum a souligné l'ambition de ce sommet, qui vise à parvenir à un consensus sur un Nouveau Pacte Financier Mondial afin de faire face à la crise multidimensionnelle qui a affaibli le système financier mondial et mis le monde en danger.
Le président Bazoum a ensuite exposé les enjeux de ce sommet pour un pays comme le Niger, en présentant sa vision stratégique qui concilie les objectifs de développement avec les défis actuels. Il a également partagé son expérience personnelle du changement climatique et de ses impacts sur la biodiversité et le pastoralisme, avec les conséquences naturelles telles que les crises migratoires et sécuritaires, exacerbées par les crises climatique, économique et démographique.
Le président Mohamed Bazoum a invité les décideurs présents au forum à trouver des solutions urgentes et pratiques, notamment en renforçant les capacités de financement des banques multilatérales de développement. Il est essentiel d'accroître les flux de capitaux vers ces banques afin d'amplifier leur capacité de financement.
"Nous devons abandonner les dogmes et les certitudes. Adoptons de nouveaux paradigmes, plus adaptés à notre réalité, qui est caractérisée par une dureté insupportable pour certains et des menaces certaines pour tous", a conclu le chef de l'État dans son discours.