NEW YORK, 23 septembre 2013/ -- DHL Express (http://www.dhl.com), la première société de messageries et de colis au monde, pense que les échanges entre les États-Unis et l'Afrique subsaharienne offrent des perspectives de croissance, du fait que ces deux régions se basent sur la récente directive de politique présidentielle américaine (Presidential Policy Directive, PPD) pour parvenir au développement durable par le biais de l'accroissement des échanges et des investissements.
« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu'ils bénéficient d'accords commerciaux préférentiels et d'un changement de politique mis en œuvre par l'État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.
Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l'Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l'Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l'économie mondiale que d'autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.
« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l'Asie s'est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l'Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».
Le rapport sur les Perspectives économiques pour l'Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d'augmentation de l'activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l'origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l'Île Maurice et l'Afrique du Sud.
La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d'économies plus importantes et plus développées telles que l'Afrique du Sud, le Nigeria, l'Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l'Angola et qui peuvent se vanter d'une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.
Cependant, si l'on se base sur les chiffres de l'exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l'essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l'Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d'exportations vers les États-Unis.
« Les États-Unis et l'Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu'une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d'opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».
Selon des statistiques publiées par le Forum de l'AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l'Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d'échanges commerciaux dans le cadre de l'AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.
« Il ne fait aucun doute qu'il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C'est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d'opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».
« Nous avons déjà assisté à cette expansion du commerce dans des pays spécifiques du continent, parce qu'ils bénéficient d'accords commerciaux préférentiels et d'un changement de politique mis en œuvre par l'État, visant à augmenter leurs exportations et importations avec les États-Unis » déclare Charles Brewer, Directeur général de DHL Express en Afrique subsaharienne. M. Brewer est actuellement en visite aux États-Unis en vue de rencontrer des principaux intervenants et des multinationales et pour promouvoir le commerce entre les deux régions.
Les chiffres publiés récemment par le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la performance de la Société montrent des perspectives économiques extrêmement positives pour l'Afrique. Les chiffres mettent également en évidence le fait que l'Afrique paraît moins confrontée aux aléas de l'économie mondiale que d'autres régions, du fait de la diversification de ses partenaires commerciaux.
« Depuis 2001, de nombreux pays africains ont connu un important changement de cap en termes de partenaires commerciaux », remarque M. Brewer. « Tandis que notre commerce intra-africain et avec l'Asie s'est intensifié de manière significative, nous avons réduit notre dépendance envers l'Europe. La prochaine région de croissance sera les États-Unis et nous sommes ravis de constater que le gouvernement américain est prêt à supprimer les barrières commerciales pour y parvenir ».
Le rapport sur les Perspectives économiques pour l'Afrique subsaharienne du FMI indique des prévisions d'augmentation de l'activité économique de 5 % dans cette région en 2012 et 2013, un rythme analogue à celui observé en 2010–11. Les marchés principaux à l'origine de cette croissance sont le Nigéria, le Ghana, le Mozambique, l'Île Maurice et l'Afrique du Sud.
La société de colis a vu un tableau analogue se profiler entre les États-Unis et diverses routes commerciales africaines bénéficiant d'économies plus importantes et plus développées telles que l'Afrique du Sud, le Nigeria, l'Éthiopie, le Kenya, le Ghana et l'Angola et qui peuvent se vanter d'une forte croissance à deux chiffres à la fois en ce qui concerne les volumes entrants et sortants.
Cependant, si l'on se base sur les chiffres de l'exportation, ce sont les plus petites économies émergentes qui enregistrent l'essor le plus important, où la Somalie, Mayotte, la Guinée-Bissau et le sud du Soudan constatent une augmentation fulgurante des importations provenant des États-Unis. Par ailleurs, les Comores, l'Érythrée, le sud du Soudan et le Libéria reçoivent une demande croissante en termes d'exportations vers les États-Unis.
« Les États-Unis et l'Afrique ont toujours bénéficié de conditions commerciales favorables basées sur la croissance africaine et sur la loi sur les opportunités économiques en Afrique (AGOA) de 2000 », a déclaré Ian Clough, Président de DHL Express aux États-Unis. « Nous sommes convaincus qu'une fois la législation révisée, aussi bien les États-Unis que les entreprises africaines en quête d'opportunités commerciales transfrontalières bénéficieront de nouveaux avantages ».
Selon des statistiques publiées par le Forum de l'AGOA à Addis-Abeba le mois dernier, le total des échanges commerciaux des États-Unis avec l'Afrique subsaharienne (exportations plus importations ) a progressé de plus de 250 %, passant de 28,2 milliards de dollars en 2001, la première année complète d'échanges commerciaux dans le cadre de l'AGOA, à 72,3 milliards de dollars en 2012.
« Il ne fait aucun doute qu'il existe un engagement en termes de croissance commerciale de la part des gouvernements respectifs et que ces chiffres continueront à progresser », conclut M. Brewer. « C'est maintenant au tour du secteur privé et des milliers de PME en quête d'opportunités de profiter de cette croissance et de développer leurs activités sur cette route commerciale lucrative ».