Nul ne peut, aujourd'hui, contester que les responsables algériens se trouvent à la peine pour définir les conditions d'une éventuelle succession du Président Bouteflika, excepté le Général de Corps d'Armée Gaid Salah.
Avec un Président Bouteflika aujourd’hui à bout de force et privé de parole , il n’y a plus de pilote dans l’avion algérien. Plus que jamais, le système de gouvernance est une boite noire. Plus grave, l’armée algérienne, qui a toujours été le premier et le dernier recours dans les moments de crise, est divisée comme jamais.
Dans ce face à face on retrouve trois clans s'affronter au sein de l'institution militaire algérienne dans un duel mortel. Le premier, le plus puissant, est dirigé par le Chef d'Etat-Major et vice-Ministre de la Défense, Gaïd Salah, le second est, quant à lui, regroupé autour du Général Tartag, le patron de la Direction du Service de Sécurité (anciennement DRS) et préposé aux basses oeuvres de Saïd Bouteflika, le frère du Président algérien et enfin le troisième groupe constitué, pour sa part, par les réseaux du Général Mohamed Médiene, dit Toufik, qui fut, pendant un quart de siècle, le Chef de la redoutable DRS et le vrai patron de l'Algérie.
Aujourd'hui, nul en Algérie ne peut échapper à l'image du Général Gaïd Salah puisqu'il s'offre l'ouverture de tous les JT du pays qu'il occupe pendant de longues minutes. Par ses apparitions quotidiennes, Gaïd Salah transmet le message subliminal qu'est : "Moi ou le chaos".
Face à ce potentiel risque, au Palais Zéralda, l'obsession est de gagner du temps dans une espèce de course pathétique vers l’abime. L’objectif de Saïd Bouteflika est de trouver un successeur à son propre frère qui soit susceptible de garantir au clan familial une sécurité judiciaire à l’heure des règlements de compte.
Face à une telle situation, les décideurs algériens pourraient s'entendre avec l'armée algérienne pour dégager un consensus entre un clan présidentiel considérablement affaibli et un Chef d’Etat-Major plus que gourmand.
Or, le Général Gaïd Salah parviendra t'il pour autant à restaurer, dans les semaines qui viennent, la cohésion de l’institution militaire ? Saura t'il promouvoir une solution politique qui soit crédible ? Pourra t'il rassurer les Français qui n’aiment guère cet ami des Russes et cet adversaire déclaré du Maroc ? Impossible !
Les dirigeants algériens, qui se baladent en rouflaquettes, multiplient les exercices militaires à balles réelles, lancent l'exploitation de gaz de schistes bitumeux, laissent mourir des immigrés en plein désert et trafiquent dans la drogue et l'évasion de devises fortes, sont devenus totalement maboules.
Avec un Président Bouteflika aujourd’hui à bout de force et privé de parole , il n’y a plus de pilote dans l’avion algérien. Plus que jamais, le système de gouvernance est une boite noire. Plus grave, l’armée algérienne, qui a toujours été le premier et le dernier recours dans les moments de crise, est divisée comme jamais.
Dans ce face à face on retrouve trois clans s'affronter au sein de l'institution militaire algérienne dans un duel mortel. Le premier, le plus puissant, est dirigé par le Chef d'Etat-Major et vice-Ministre de la Défense, Gaïd Salah, le second est, quant à lui, regroupé autour du Général Tartag, le patron de la Direction du Service de Sécurité (anciennement DRS) et préposé aux basses oeuvres de Saïd Bouteflika, le frère du Président algérien et enfin le troisième groupe constitué, pour sa part, par les réseaux du Général Mohamed Médiene, dit Toufik, qui fut, pendant un quart de siècle, le Chef de la redoutable DRS et le vrai patron de l'Algérie.
Aujourd'hui, nul en Algérie ne peut échapper à l'image du Général Gaïd Salah puisqu'il s'offre l'ouverture de tous les JT du pays qu'il occupe pendant de longues minutes. Par ses apparitions quotidiennes, Gaïd Salah transmet le message subliminal qu'est : "Moi ou le chaos".
Face à ce potentiel risque, au Palais Zéralda, l'obsession est de gagner du temps dans une espèce de course pathétique vers l’abime. L’objectif de Saïd Bouteflika est de trouver un successeur à son propre frère qui soit susceptible de garantir au clan familial une sécurité judiciaire à l’heure des règlements de compte.
Face à une telle situation, les décideurs algériens pourraient s'entendre avec l'armée algérienne pour dégager un consensus entre un clan présidentiel considérablement affaibli et un Chef d’Etat-Major plus que gourmand.
Or, le Général Gaïd Salah parviendra t'il pour autant à restaurer, dans les semaines qui viennent, la cohésion de l’institution militaire ? Saura t'il promouvoir une solution politique qui soit crédible ? Pourra t'il rassurer les Français qui n’aiment guère cet ami des Russes et cet adversaire déclaré du Maroc ? Impossible !
Les dirigeants algériens, qui se baladent en rouflaquettes, multiplient les exercices militaires à balles réelles, lancent l'exploitation de gaz de schistes bitumeux, laissent mourir des immigrés en plein désert et trafiquent dans la drogue et l'évasion de devises fortes, sont devenus totalement maboules.