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AFRIQUE

Les musulmans civils centrafricains ont dansé sur une corde musicale qu’ils n’ont pas écrite


- 19 Juin 2014



Le Pays Centafrique

Les musulmans civils centrafricains ont dansé sur une corde musicale qu’ils n’ont pas écrite
Il est à préciser que la situation sociopolitique et sécuritaire qui prévaut en ce moment, et surtout depuis le début de la crise en décembre 2012, est un véritable imbroglio où une mère poule ne saurait reconnaitre ses petits. Le citoyen lambda a exactement comme l’impression que la RCA est désormais considéré comme une sorte d’un nouvel El dorado de ce dernier siècle pour les autres pays les plus puissants du monde. Dont la pénurie en matière première est annoncée par les experts à partir des années 2040 et 2050. Du coup, les désormais importants gisements miniers des seuls pays sont devenus une véritable convoitise pour ceux-là qui puisent tout ailleurs pour le seul développement de leur propre pays tout en versant du sang par personnes interposées que sont les fils propres du pays qui ne sont autre que des rosicruciens et franc-maçonniers. Ce qui est désormais un secret de polichinelle puisque connu de tous. 
 
Depuis le mois de décembre 2012 où l’insurrection de la mouvance Séléka a foulé le sol centrafricain avec tout son corollaire de mal qui a endeuillé des milliers de familles, mettant en même temps le drapeau de l’économie nationale en berne, tout porte à croire selon un certain nombre d’observateurs que ce pauvre pays riche en ressources naturelles, n’est pas près à voire le bout du tunnel. De prime abord, nous avons des hommes politiques centrafricains que tout le monde doigte à chacun de leur passage dan ka rue et cités aussi nommément par l’ancien Président de la transition Michel Djotodia qui ont complètement mis le pays pratiquement à genoux. Pour ceux-là, il convient de préciser qu’ils on désormais une carte politique DEFINITIVEMENT grillée pour avoir contribué et cautionner la mise à mort gratuite, sans vergogne et odieuse des pauvres centrafricains à cause de leur cupidité. 
 
Aussi de l’autre coté, nous avons les musulmans centrafricains qui ont dansé sur une corde musicale qu’ils n’ont pas écrite. Le peuple centrafricain étant habitué à ce genre de sport politique malsain qui remet toujours tout en cause les initiatives du gouvernement, s’est retrouvé face à un coup d’Etat pour renverser un régime et non un coup d’Etat contre la population. Malheureusement, depuis l’entrée des éléments de la Séléka en Centrafrique, chaque jour que Dieu a crée est synonyme de mort d’hommes tués par les éléments de la Séléka et plus particulièrement ceux de la communauté chrétienne. Or, la logique sociopolitique aurait voulu que les frères musulmans civils restent neutre dans cette affaire d’Etat qui ne les concernaient pas du tout et au besoin se rapprocher se ces mercenaires tchadiens et soudanais pour les ramener à la raison, puisque parlant la même langue. Ainsi, ayant évalué les rapports de force, puisque disposant suffisamment des armes, les frères musulmans ont cru à un moment donné de croire d’une manière utopique et surtout sans calcul, ni projection de réussir les exploits d’Alexandre le Grand qui avait conquit toue la Mésopotamie jusqu’en Egypte.
Or, c’était sans compter que les centrafricains dans leur ensemble ne sont pas aussi poltrons que ça. Aujourd’hui, à cause des actes posés par le passé, les frères musulmans centrafricains confinés quelque part, sont obligés de vivre dans une sorte de no man’s land (Ligne rouge) Suite à la prochaine parution
 
Lulukouloussou
Journal Le Pays Centrafrique



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