Des oeufs. Crédits réservés.
On ne peut citer un centre de commerce, mais on le sait tous que les principaux endroits où l’on vend des produits voire des produits alimentaires voire congelés, sont tenus par ces compatriotes qui tiennent le monopole de ce secteur depuis plus de 50 ans.
L’on se rappelle qu’il y a de cela quelques mois, l’Institut Pasteur, un centre reconnu sur le plan mondial dans ses analyses et diagnostics sanitaires a décrié et a rendu public le résultat d’une analyse faite sur l’eau minérale « LA VIE » produite par la Société GIBA. Ce résultat approuve que l’eau ‘’La vie’’ embouteillée par GIBA est impropre à la consommation, car les conditions du traitement et la mise en boite ne sont ce qu’il faut et la société doit tout simplement arrêter sa production. Malgré, tout cela, les autorités du pays n’ont daigné de prendre de mesures claires sur ce dossier, laissant GIBA tranquillement dans sa production, même si cela constitue un véritable danger pour la santé des populations. Les en-dessous de cette situation sont avérés, l’histoire de pot de vin n’est pas à épargner sur cette piste. Puisque, ces mêmes libanais ont l’habitude de dire que les autorités du pays sont dans leurs poches, rien ne peut leur arriver dans leurs pratiques contraires aux dispositions des lois et textes réglementant le secteur du commerce, de l’hygiène et de la santé publique.
Revenons sur notre titre pour dire que depuis un certain temps, des œufs en provenance des pays extérieurs inondent les marchés de la place. Ces œufs sont vendus à des prix dérisoires varient de 75 a 100 fcfa. Du coup, on s’étonne de ces prix, car ils ont été hausse depuis près d’un an et varient de 150 à 200 fcfa.
Qu’est-ce qui justifie cette baisse si brutale ? Voilà la question que tout le monde se doit poser. Selon nos investigations, ces œufs sont importés en Europe dont les principaux pays sont : l’Espagne, la France, le Portugal, l’Italie…
Si vous voyez sur les cartons de ces œufs, il est écrit comme quoi : il faut conserver à la température de 3 à 10° avant même la consommation. Sachons que si, une fois ces œufs sont mis sur le marché, la température ne sera plus la même. N’est-ce pas ici un danger pour la consommation dont ces œufs ne sont toujours pas gardés à la température recommandée ? Voilà comment ces compatriotes venus d’ailleurs font de l’argent dans un pays qui ne sont les leur et empoisonnent les fils du pays ? Où sont les contrôleurs des produits du Ministère du Commerce et leurs collègues du Ministère de santé voire le service d’hygiène de la Mairie qui doivent veiller sur ces comportements ?
Le centrafricain aujourd’hui, avec la situation qu’il traverse, peut encore subir une telle atrocité en consommant un produit acheté avec toutes les peines qu’ils ont en ce qui est de leur revenu journalier ? a quand nos autorités doivent décider pour être ainsi courageux, déterminés, patriotiques à dire non aux bavures dont font preuve les commerçants libanais dans ce pays ?
Sous d’autres cieux, disant au Cameroun voisin, un tel commerce ne peut être laissé exercer par les étrangers. Ici en Centrafrique, le pays dispose des filles et fils du pays qui se lancent dans cette activité de production des œufs. Même au niveau de Bangui, il suffit de faire un tour aux quartiers Gobongo, Galabadja, Combattant, Boeing, Damala et autres, vous allez vous rendre que plusieurs personnes se lancent dans cette activité de production des œufs dont la qualité est meilleure que celle importés par les libanais. Si les autorités du pays veulent réellement du développement du secteur des petites et moyennes entreprises, en accordant la priorité aux initiatives des fils du pays, elles doivent absolument mettre fin à la vente de ces œufs inconsommables des libanais qui inondent les marchés à Bangui.
Car, a en croire banguissois interrogés sur ce sujet, les avis sont les mêmes et ils ont avoué clairement que les œufs consommés ces derniers temps n’ont pas de goût, car la température de leur conservation n’est pas celle préconisée.
Des maux de ventre à la diarrhée chronique constatée dans les ménages, la situation est grave et mérité une intervention urgente des autorités concernées auprès des commerces des libanais qui mettent des produits dangereux à la consommation des centrafricains.
Mark KARANDEU
L’on se rappelle qu’il y a de cela quelques mois, l’Institut Pasteur, un centre reconnu sur le plan mondial dans ses analyses et diagnostics sanitaires a décrié et a rendu public le résultat d’une analyse faite sur l’eau minérale « LA VIE » produite par la Société GIBA. Ce résultat approuve que l’eau ‘’La vie’’ embouteillée par GIBA est impropre à la consommation, car les conditions du traitement et la mise en boite ne sont ce qu’il faut et la société doit tout simplement arrêter sa production. Malgré, tout cela, les autorités du pays n’ont daigné de prendre de mesures claires sur ce dossier, laissant GIBA tranquillement dans sa production, même si cela constitue un véritable danger pour la santé des populations. Les en-dessous de cette situation sont avérés, l’histoire de pot de vin n’est pas à épargner sur cette piste. Puisque, ces mêmes libanais ont l’habitude de dire que les autorités du pays sont dans leurs poches, rien ne peut leur arriver dans leurs pratiques contraires aux dispositions des lois et textes réglementant le secteur du commerce, de l’hygiène et de la santé publique.
Revenons sur notre titre pour dire que depuis un certain temps, des œufs en provenance des pays extérieurs inondent les marchés de la place. Ces œufs sont vendus à des prix dérisoires varient de 75 a 100 fcfa. Du coup, on s’étonne de ces prix, car ils ont été hausse depuis près d’un an et varient de 150 à 200 fcfa.
Qu’est-ce qui justifie cette baisse si brutale ? Voilà la question que tout le monde se doit poser. Selon nos investigations, ces œufs sont importés en Europe dont les principaux pays sont : l’Espagne, la France, le Portugal, l’Italie…
Si vous voyez sur les cartons de ces œufs, il est écrit comme quoi : il faut conserver à la température de 3 à 10° avant même la consommation. Sachons que si, une fois ces œufs sont mis sur le marché, la température ne sera plus la même. N’est-ce pas ici un danger pour la consommation dont ces œufs ne sont toujours pas gardés à la température recommandée ? Voilà comment ces compatriotes venus d’ailleurs font de l’argent dans un pays qui ne sont les leur et empoisonnent les fils du pays ? Où sont les contrôleurs des produits du Ministère du Commerce et leurs collègues du Ministère de santé voire le service d’hygiène de la Mairie qui doivent veiller sur ces comportements ?
Le centrafricain aujourd’hui, avec la situation qu’il traverse, peut encore subir une telle atrocité en consommant un produit acheté avec toutes les peines qu’ils ont en ce qui est de leur revenu journalier ? a quand nos autorités doivent décider pour être ainsi courageux, déterminés, patriotiques à dire non aux bavures dont font preuve les commerçants libanais dans ce pays ?
Sous d’autres cieux, disant au Cameroun voisin, un tel commerce ne peut être laissé exercer par les étrangers. Ici en Centrafrique, le pays dispose des filles et fils du pays qui se lancent dans cette activité de production des œufs. Même au niveau de Bangui, il suffit de faire un tour aux quartiers Gobongo, Galabadja, Combattant, Boeing, Damala et autres, vous allez vous rendre que plusieurs personnes se lancent dans cette activité de production des œufs dont la qualité est meilleure que celle importés par les libanais. Si les autorités du pays veulent réellement du développement du secteur des petites et moyennes entreprises, en accordant la priorité aux initiatives des fils du pays, elles doivent absolument mettre fin à la vente de ces œufs inconsommables des libanais qui inondent les marchés à Bangui.
Car, a en croire banguissois interrogés sur ce sujet, les avis sont les mêmes et ils ont avoué clairement que les œufs consommés ces derniers temps n’ont pas de goût, car la température de leur conservation n’est pas celle préconisée.
Des maux de ventre à la diarrhée chronique constatée dans les ménages, la situation est grave et mérité une intervention urgente des autorités concernées auprès des commerces des libanais qui mettent des produits dangereux à la consommation des centrafricains.
Mark KARANDEU