L'arbitre principal est assisté par deux arbitres appelés assistants, qui surveillent la ligne de touche et signalent d'autres infractions. Avec la nouvelle technologie, il existe également un autre arbitre nommé assistant vidéo, mais le championnat de N'djaména n'a pas encore recours à cette méthode.
Face à ces menaces, Brahim Badari Vovo, professeur de physique et d'arbitrage à la Confédération africaine de football (CAF), estime que "la méconnaissance des nouvelles lois du jeu est à l'origine du problème. Il faut sensibiliser les entraîneurs pour qu'ils comprennent mieux les décisions des arbitres dans certaines situations du jeu. Toutefois, la protection des arbitres reste un défi pour la ligue provinciale de N'Djamena".
Toutefois, certains soutiennent que "certains arbitres ne sont pas à la hauteur de la gestion des matchs sous tension, comme ce fut le cas lors de la rencontre entre l'Elect Sport et les Aiglons". Il est vrai que les arbitres sont en insécurité, notamment en raison du manque de dispositifs de sécurité dans les stades. Comment peut-on gérer un stade de plus de 500 spectateurs avec un seul véhicule de police ? Il est vrai que l'arbitre est le maître du jeu, mais il ne peut rien faire face à toute une équipe. Si l'arbitre Armi Alfred, qui a officié lors du match Elect Sport et Aiglons, a été sauvé par quelques jeunes chargés de sécurité, cela prouve que ces arbitres ont besoin d'être encadrés à la fin des rencontres.
Le véritable problème est que, sur les terrains de Paris Congo et de Diguel, l'accès à la pelouse est à la portée de tous lorsque l'arbitre siffle la fin du match. Ainsi, la ligue provinciale de N'Djamena et le ministère chargé des sports sont interpellés pour clôturer la pelouse, ce qui ne nécessite pas trop de moyens mais davantage de volonté.
Face à ces menaces, Brahim Badari Vovo, professeur de physique et d'arbitrage à la Confédération africaine de football (CAF), estime que "la méconnaissance des nouvelles lois du jeu est à l'origine du problème. Il faut sensibiliser les entraîneurs pour qu'ils comprennent mieux les décisions des arbitres dans certaines situations du jeu. Toutefois, la protection des arbitres reste un défi pour la ligue provinciale de N'Djamena".
Toutefois, certains soutiennent que "certains arbitres ne sont pas à la hauteur de la gestion des matchs sous tension, comme ce fut le cas lors de la rencontre entre l'Elect Sport et les Aiglons". Il est vrai que les arbitres sont en insécurité, notamment en raison du manque de dispositifs de sécurité dans les stades. Comment peut-on gérer un stade de plus de 500 spectateurs avec un seul véhicule de police ? Il est vrai que l'arbitre est le maître du jeu, mais il ne peut rien faire face à toute une équipe. Si l'arbitre Armi Alfred, qui a officié lors du match Elect Sport et Aiglons, a été sauvé par quelques jeunes chargés de sécurité, cela prouve que ces arbitres ont besoin d'être encadrés à la fin des rencontres.
Le véritable problème est que, sur les terrains de Paris Congo et de Diguel, l'accès à la pelouse est à la portée de tous lorsque l'arbitre siffle la fin du match. Ainsi, la ligue provinciale de N'Djamena et le ministère chargé des sports sont interpellés pour clôturer la pelouse, ce qui ne nécessite pas trop de moyens mais davantage de volonté.