"Pour nourrir adéquatement notre population en croissance rapide, renforcer la résilience des groupes vulnérables face aux catastrophes des activités agricoles et connexes, des obstacles majeurs doivent être soulevés afin pour donner espoir à ces composantes majeures de notre vaillante population", selon Mahamat Idriss Deby.
Le Tchad a élaboré une feuille de route pour concrétiser son adhésion et son engagement qui vise d’ici 2030 à libérer le Tchad de la faim et de la malnutrition à travers des investissements dans les pistes d’actions retenues, entre autres : renforcer la résilience des ménages et des communautés les plus vulnérables face aux crises et aux catastrophes ; promouvoir des régimes alimentaires nutritifs et sains pour tous ; et promouvoir l’autonomisation des jeunes et des femmes dans les systèmes alimentaires.
La mise en œuvre de cette feuille de route s’appuiera sur les accélérateurs de changements et principes d’interventions tels que le financement basé prioritairement sur les fonds privés et publics ainsi que les revenus tirés des filières agricoles et alimentaires.
Le Tchad, dispose d’importantes potentialités agro-sylvo-pastorales et halieutiques dont leurs exploitations représentent à la fois la principale activité de la population composée majoritairement des jeunes et des femmes. Il est toutefois confronté à plusieurs problèmes entre autres l’insécurité qui prévaut dans le bassin du Lac-Tchad, les attaques terroristes meurtrières lancées à partir de certains pays voisins avec leurs corolaires de déplacement des populations et les répercussions de la pandémie de la COVID-19. A cela, s’ajoute les changements climatiques, la croissance démographique mal maîtrisée mais aussi la crise économique et financière. Cette situation contribue à l’affaiblissement des moyens de subsistance des populations rurales.
Le Tchad a élaboré une feuille de route pour concrétiser son adhésion et son engagement qui vise d’ici 2030 à libérer le Tchad de la faim et de la malnutrition à travers des investissements dans les pistes d’actions retenues, entre autres : renforcer la résilience des ménages et des communautés les plus vulnérables face aux crises et aux catastrophes ; promouvoir des régimes alimentaires nutritifs et sains pour tous ; et promouvoir l’autonomisation des jeunes et des femmes dans les systèmes alimentaires.
La mise en œuvre de cette feuille de route s’appuiera sur les accélérateurs de changements et principes d’interventions tels que le financement basé prioritairement sur les fonds privés et publics ainsi que les revenus tirés des filières agricoles et alimentaires.
Le Tchad, dispose d’importantes potentialités agro-sylvo-pastorales et halieutiques dont leurs exploitations représentent à la fois la principale activité de la population composée majoritairement des jeunes et des femmes. Il est toutefois confronté à plusieurs problèmes entre autres l’insécurité qui prévaut dans le bassin du Lac-Tchad, les attaques terroristes meurtrières lancées à partir de certains pays voisins avec leurs corolaires de déplacement des populations et les répercussions de la pandémie de la COVID-19. A cela, s’ajoute les changements climatiques, la croissance démographique mal maîtrisée mais aussi la crise économique et financière. Cette situation contribue à l’affaiblissement des moyens de subsistance des populations rurales.