L’objectif de cette campagne, en cours sur tout le pays, est de collecter 125 millions de francs/CFA, dans l’optique d’améliorer et d’équiper deux unités d’oncologie pédiatrique à Brazzaville et Pointe Noire ; de poursuivre les aides en médicaments pour la période 2017-2018 ; d’améliorer la qualité des services du centre d’appel téléphonique (le numéro vert 1122) ; d’organiser 12 réunions d’informations à Brazzaville et Pointe Noire, distribuer 1000 affiches dans toutes formations sanitaires de la ville océane, enfin d’implanter, à titre expérimental, un comité de santé scolaire dynamique et efficace (prévention en milieu scolaire) dans 60 écoles de deux grandes villes du pays.
Les fonds à collecter renforceront les capacités de la fondation et d’intensifier ses actions pour faire baisser la mortalité par cancer chez l’enfant. Aussi, Madame Edith Yolande KETTA-MBANGUID, présidente de ladite fondation, précise-t-elle que : « Malgré ces avancées, la très forte mortalité par cancer chez l’enfant n’a pas baissé… » Plusieurs défis sont encore à relever et les projets amorcés pour y parvenir exigent davantage de ressources financières.
C’est pourquoi un appel est lancé en direction des donateurs et autres personnes de poser un geste de cœur en faisant un don de toute nature pour lutter efficacement contre les cancers chez l’enfant. Le don peut être fait en numéraire (par chèque ou par virement bancaire), par sponsoring d’un concert de charité (Barbara Kanam chante Céline Dion) un chant d’espoir pour l’enfant atteint d’un cancer, par l’organisation d’un shooting photo caritatif, ainsi que par l’achat d’une table et la participation au diner de gala caritatif « Tables de cœur pour Calissa. »
Neuf enfants sur dix meurent d'un cancer
A la différence des cancers de l’adulte, les cancers de l’enfant sont guérissables dans 90% des cas, à condition d’être diagnostiqués et pris en charge dès l’apparition des premiers signes cliniques. Or le cout de la prise en charge n’est pas vraiment à la portée de la bourse du congolais moyen. Puisqu’il faut payer plus d’un million de francs/CFA minimum pour la simple chimiothérapie, sans compter les examens médicaux…
Une autre raison, par ailleurs, laisse entendre qu’en République du Congo 9/10 enfants atteints d’un cancer finissent par mourir, en grande partie à cause de l’ignorance et du déficit de communication sur la maladie.
La fondation Calissa IKAMA, depuis sa création en 2008, poursuit deux objectifs à travers ses actions. Il s’agit de soigner et de guérir les enfants du Congo atteints d’un cancer, en contribuant à l’amélioration de la qualité de prise en charge, en sensibilisant pour améliorer la précocité du diagnostic et en menant le plaidoyer auprès des pouvoirs publics afin que la priorité soit accordée à la cancérologie pédiatrique et d’éduquer pour éviter l’exposition des enfants aux facteurs de risque des cancers ( en accompagnant les établissements scolaires dans l’organisation d’activités d’éducation pour la santé).
En rappel, le 11 novembre 2017, marquera le 10 ème anniversaire de la mort de Calissa IKAMA, la plus jeune écrivaine, décédée d’un cancer à l’âge de 15 ans. Le décès de Calissa IKAMA a été vécu comme une tragédie pour sa famille et ses proches. Chaque année au Congo, la même tragédie est vécue par 9 sur 10 familles d’enfants atteints d’un cancer, alors qu’en occident, la tendance est inverse, c’est-à-dire 9 enfants sur 10 guérissent de leur cancer.
Les fonds à collecter renforceront les capacités de la fondation et d’intensifier ses actions pour faire baisser la mortalité par cancer chez l’enfant. Aussi, Madame Edith Yolande KETTA-MBANGUID, présidente de ladite fondation, précise-t-elle que : « Malgré ces avancées, la très forte mortalité par cancer chez l’enfant n’a pas baissé… » Plusieurs défis sont encore à relever et les projets amorcés pour y parvenir exigent davantage de ressources financières.
C’est pourquoi un appel est lancé en direction des donateurs et autres personnes de poser un geste de cœur en faisant un don de toute nature pour lutter efficacement contre les cancers chez l’enfant. Le don peut être fait en numéraire (par chèque ou par virement bancaire), par sponsoring d’un concert de charité (Barbara Kanam chante Céline Dion) un chant d’espoir pour l’enfant atteint d’un cancer, par l’organisation d’un shooting photo caritatif, ainsi que par l’achat d’une table et la participation au diner de gala caritatif « Tables de cœur pour Calissa. »
Neuf enfants sur dix meurent d'un cancer
A la différence des cancers de l’adulte, les cancers de l’enfant sont guérissables dans 90% des cas, à condition d’être diagnostiqués et pris en charge dès l’apparition des premiers signes cliniques. Or le cout de la prise en charge n’est pas vraiment à la portée de la bourse du congolais moyen. Puisqu’il faut payer plus d’un million de francs/CFA minimum pour la simple chimiothérapie, sans compter les examens médicaux…
Une autre raison, par ailleurs, laisse entendre qu’en République du Congo 9/10 enfants atteints d’un cancer finissent par mourir, en grande partie à cause de l’ignorance et du déficit de communication sur la maladie.
La fondation Calissa IKAMA, depuis sa création en 2008, poursuit deux objectifs à travers ses actions. Il s’agit de soigner et de guérir les enfants du Congo atteints d’un cancer, en contribuant à l’amélioration de la qualité de prise en charge, en sensibilisant pour améliorer la précocité du diagnostic et en menant le plaidoyer auprès des pouvoirs publics afin que la priorité soit accordée à la cancérologie pédiatrique et d’éduquer pour éviter l’exposition des enfants aux facteurs de risque des cancers ( en accompagnant les établissements scolaires dans l’organisation d’activités d’éducation pour la santé).
En rappel, le 11 novembre 2017, marquera le 10 ème anniversaire de la mort de Calissa IKAMA, la plus jeune écrivaine, décédée d’un cancer à l’âge de 15 ans. Le décès de Calissa IKAMA a été vécu comme une tragédie pour sa famille et ses proches. Chaque année au Congo, la même tragédie est vécue par 9 sur 10 familles d’enfants atteints d’un cancer, alors qu’en occident, la tendance est inverse, c’est-à-dire 9 enfants sur 10 guérissent de leur cancer.