Dr Blanche Anya, représentante de l'OMS, a rappelé dans son discours d'ouverture que la Journée Mondiale de la Santé, établie en 1945, célèbre la vision d'un monde où chaque personne peut atteindre le plus haut niveau de santé possible. Le thème de cette année met l'accent sur le droit universel à la santé, l'éducation, l'information, ainsi qu'à des conditions de vie saines et à la non-discrimination. Elle a également annoncé l'organisation d'une grande marche pour la santé prévue le samedi 13 avril 2024, au stade de Paris-Congo, invitant la population à y participer.
La journée a été marquée par des échanges de quatre panelistes sur divers problèmes de santé humaine et l'accès aux soins. Dr Khadidja a identifié les faibles statuts économiques et le faible taux de scolarisation comme obstacles majeurs à la santé sexuelle et reproductive. Delly Sessette a souligné que l'accès aux soins de santé reste un défi dans certaines régions d'Afrique, citant le Congo comme exemple.
La représentante de l'UNICEF au Tchad a mis en lumière le classement préoccupant du pays en matière de taux de mortalité maternelle et infantile. Les discussions ont également abordé la communication insuffisante sur les droits à la santé, l'accueil inadéquat des patients dans les établissements de santé, et les risques liés aux avortements clandestins, pratiques dangereuses conduisant à de nombreuses morts parmi les jeunes filles.
La cérémonie s'est conclue par une photo de famille, symbolisant l'unité et l'engagement collectif en faveur de l'amélioration de la santé au Tchad.
La journée a été marquée par des échanges de quatre panelistes sur divers problèmes de santé humaine et l'accès aux soins. Dr Khadidja a identifié les faibles statuts économiques et le faible taux de scolarisation comme obstacles majeurs à la santé sexuelle et reproductive. Delly Sessette a souligné que l'accès aux soins de santé reste un défi dans certaines régions d'Afrique, citant le Congo comme exemple.
La représentante de l'UNICEF au Tchad a mis en lumière le classement préoccupant du pays en matière de taux de mortalité maternelle et infantile. Les discussions ont également abordé la communication insuffisante sur les droits à la santé, l'accueil inadéquat des patients dans les établissements de santé, et les risques liés aux avortements clandestins, pratiques dangereuses conduisant à de nombreuses morts parmi les jeunes filles.
La cérémonie s'est conclue par une photo de famille, symbolisant l'unité et l'engagement collectif en faveur de l'amélioration de la santé au Tchad.