Selon le Procureur Mamadou Timbo, « il y a eu violation de la loi dans l’achat de l’avion présidentiel ».
« Nos estimations provisoires indiquent qu’il y a eu une atteinte aux deniers publics de l’ordre de 56 milliards de FCFA au détriment de l’État »”, a-t-il ajouté selon le journal malien.
« En ce qui concerne le dossier Paramount, M. Timbo a conclu en disant qu’il y a eu également “atteinte aux biens publics pour un montant de trois milliards de FCFA au détriment de l’État” ».
Selon Mali Web, le Mali acquiert le Boeing 737 en Mars 2014 aux USA. L’acte de vente est signé le 20 Mars 2014 à Oklahoma City aux Etats-Unis entre la République du Mali et Wells Fargo, une grande banque américaine qui était en possession du titre de propriété de l’aéronef. Cependant, c’est une société écran du nom de Mali BBJ Limited basée à Aruba dans les Caraïbes qui fait une demande d’exportation de l’avion auprès des autorités américaines. La dite-société avait été montée deux semaines auparavant à Oranjestad sur l’île d’Aruba, un paradis fiscal.
« L’opacité autour du coût réel de l’avion et le manque de transparence budgétaire crée aussitôt un scandale ». Le Fond Monétaire International avait demandé un audit qui sera diligenté par le Bureau du Vérificateur Général (BVG).
« Nos estimations provisoires indiquent qu’il y a eu une atteinte aux deniers publics de l’ordre de 56 milliards de FCFA au détriment de l’État »”, a-t-il ajouté selon le journal malien.
« En ce qui concerne le dossier Paramount, M. Timbo a conclu en disant qu’il y a eu également “atteinte aux biens publics pour un montant de trois milliards de FCFA au détriment de l’État” ».
Selon Mali Web, le Mali acquiert le Boeing 737 en Mars 2014 aux USA. L’acte de vente est signé le 20 Mars 2014 à Oklahoma City aux Etats-Unis entre la République du Mali et Wells Fargo, une grande banque américaine qui était en possession du titre de propriété de l’aéronef. Cependant, c’est une société écran du nom de Mali BBJ Limited basée à Aruba dans les Caraïbes qui fait une demande d’exportation de l’avion auprès des autorités américaines. La dite-société avait été montée deux semaines auparavant à Oranjestad sur l’île d’Aruba, un paradis fiscal.
« L’opacité autour du coût réel de l’avion et le manque de transparence budgétaire crée aussitôt un scandale ». Le Fond Monétaire International avait demandé un audit qui sera diligenté par le Bureau du Vérificateur Général (BVG).