Vendredi, le groupe terroriste Jama’at Nasr al-Islam wal (JNIM) annonce le décès du préfet Drissa Sanogo qu'il avait enlevé le 2 mai 2020 au lendemain des élections législatives entre Ber et Rharous.
Selon le journal Sahel Tribune, « Drissa Sanogo avait occupé le poste de préfet depuis 2018 et avait précédemment servi dans d’autres zones telles que Bafoulabé et San. Son enlèvement et sa détention ont été une source de préoccupation pendant une longue période ».
RFI a souligné qu’« il avait été kidnappé alors qu'il regagnait son poste en voiture après un séjour à Tombouctou. Cela faisait donc plus de trois ans que Drissa Sanogo était détenu et que ses proches espéraient son retour ».
D’après le même media, « plusieurs dizaines d'otages occidentaux et maliens – majoritairement des membres de l'administration publique, des militaires ou encore des enseignants – sont actuellement détenus par le Jnim dans le nord du Mali », malheuresuement, « les autorités maliennes de transition n'ont, pour le moment, pas réagi au décès en captivité du préfet Drissa Sanogo ».
Selon le journal Sahel Tribune, « Drissa Sanogo avait occupé le poste de préfet depuis 2018 et avait précédemment servi dans d’autres zones telles que Bafoulabé et San. Son enlèvement et sa détention ont été une source de préoccupation pendant une longue période ».
RFI a souligné qu’« il avait été kidnappé alors qu'il regagnait son poste en voiture après un séjour à Tombouctou. Cela faisait donc plus de trois ans que Drissa Sanogo était détenu et que ses proches espéraient son retour ».
D’après le même media, « plusieurs dizaines d'otages occidentaux et maliens – majoritairement des membres de l'administration publique, des militaires ou encore des enseignants – sont actuellement détenus par le Jnim dans le nord du Mali », malheuresuement, « les autorités maliennes de transition n'ont, pour le moment, pas réagi au décès en captivité du préfet Drissa Sanogo ».