Cependant, la FIDH souligne que cette mesure ne suffit pas à elle seule à restaurer le respect des droits humains et à garantir un retour à l'ordre constitutionnel. L'organisation appelle les autorités maliennes à prendre des mesures concrètes supplémentaires, notamment libérer sans délai les opposants politiques et les défenseur·ses des droits humains arbitrairement détenus.
Engager un dialogue inclusif et constructif avec l'ensemble des acteurs politiques et de la société civile en vue d'un retour à l'ordre constitutionnel. Mettre en place un mécanisme indépendant et crédible pour enquêter sur les violations des droits humains commises pendant la période de transition et amener les responsables à répondre de leurs actes. Garantir le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d'expression, de réunion et de manifestation.
La FIDH réitère son engagement à accompagner le peuple malien dans sa quête de paix, de justice et de démocratie. L'organisation appelle toutes les parties prenantes à privilégier le dialogue et la concertation pour trouver des solutions durables aux défis auxquels le pays est confronté.
La situation au Mali reste préoccupante, mais la levée de la suspension des activités des partis politiques offre une lueur d'espoir. Il est impératif que les autorités maliennes saisissent cette opportunité pour s'engager résolument sur la voie du respect des droits humains, de la démocratie et de l'État de droit.
Engager un dialogue inclusif et constructif avec l'ensemble des acteurs politiques et de la société civile en vue d'un retour à l'ordre constitutionnel. Mettre en place un mécanisme indépendant et crédible pour enquêter sur les violations des droits humains commises pendant la période de transition et amener les responsables à répondre de leurs actes. Garantir le respect des libertés fondamentales, notamment la liberté d'expression, de réunion et de manifestation.
La FIDH réitère son engagement à accompagner le peuple malien dans sa quête de paix, de justice et de démocratie. L'organisation appelle toutes les parties prenantes à privilégier le dialogue et la concertation pour trouver des solutions durables aux défis auxquels le pays est confronté.
La situation au Mali reste préoccupante, mais la levée de la suspension des activités des partis politiques offre une lueur d'espoir. Il est impératif que les autorités maliennes saisissent cette opportunité pour s'engager résolument sur la voie du respect des droits humains, de la démocratie et de l'État de droit.