Choguel Maïga a indiqué que les sanctions économiques prises par la CEDEAO visant le Mali visent à faire tomber le gouvernement pour éviter la révision de l'accord de défense liant le Mali à la France.
"Personne, je dis bien personne, ne peux nous déstabiliser. Notre peuple est un grand peuple", a déclaré Choguel Maïga.
Le chef du gouvernement malien a rendu hommage à tous les soldats tués au Mali et exprimé sa reconnaissance. "Des soldats français sont morts mais des soldats africains sont morts pour libérer la France. À la deuxième guerre mondiale, c'est l'Afrique qui était le lieu de repli de De Gaulle pour reconquérir la souveraineté de la France. (...) C'est les africains qui mourraient", a-t-il dit.
Selon Choguel Maïga, "personne ne peut faire la leçon au gouvernement malien, surtout pas des leçons de morale".
"Personne, je dis bien personne, ne peux nous déstabiliser. Notre peuple est un grand peuple", a déclaré Choguel Maïga.
"On nous dit qu'on veut libérer le territoire du Mali. Pourquoi arriver au Nord du Mali ? (...) La France a interdit à l'armée malienne d'occuper tout le territoire. (...) Les français ne savent pas que c'est leur gouvernement qui a coupé le Mali en deux, créer un sanctuaire où les terroristes ont été organisés (...) Ils ne disent pas ça à leur opinion publique, ils jouent sur les sentiments".
Le chef du gouvernement malien a rendu hommage à tous les soldats tués au Mali et exprimé sa reconnaissance. "Des soldats français sont morts mais des soldats africains sont morts pour libérer la France. À la deuxième guerre mondiale, c'est l'Afrique qui était le lieu de repli de De Gaulle pour reconquérir la souveraineté de la France. (...) C'est les africains qui mourraient", a-t-il dit.
Selon Choguel Maïga, "personne ne peut faire la leçon au gouvernement malien, surtout pas des leçons de morale".
"On ne peut pas nous vassaliser, on ne peut pas transformer notre pays en esclave. Ça c'est terminé. Personne ne peut traiter les problèmes du Mali par procuration. Personne. Lorsqu'on refuse ça, on nous insulte, on nous menace, on viole les règles".