Le constructeur automobile marocain Neo Motors envisage de rejoindre la Bourse de Casablanca pour lever les fonds qui devraient lui permettre de se lancer dans la production de véhicules électriques, a rapporté Bloomberg, ce mercredi 15 novembre, citant un dirigeant de la société.
En effet, cette société, qui va entamer la commercialisation de son premier modèle à partir de ce mois de novembre, prévoit de porter sa capacité de production à 15 000 véhicules par an d'ici trois ans. « L'industrie automobile est gourmande en liquidités.
C'est donc tout naturellement qu'une cotation à la bourse de Casablanca fait partie de nos objectifs », a déclaré Nassim Belkhayat, le directeur général et fondateur du premier constructeur automobile marocain. Cette société fondée en 2017 a annoncé tout récemment qu’elle allait entamer la commercialisation de son premier modèle à partir de ce mois de novembre.
Le modèle, un SUV urbain à trois portes, doté de moteurs à 3 ou 4 cylindres a été dévoilé en mars dernier, en présence du roi Mohammed VI. Il sera alors vendu à 175 000 dirhams marocains (soit 17 200 $) pour la version 3 cylindres, et à 185 000 dirhams (soit 18 200 $), pour la version 4 cylindres.
Et Nassim Belkhayat d’ajouter : « Nous voulions fabriquer une voiture pour le peuple, comme l'a fait Volkswagen il y a un siècle. Nous avons fabriqué notre propre carrosserie, notre propre cadre et notre système de câbles électriques, et nous avons confié le reste à 43 fournisseurs locaux ».
L’usine de Neo Motors a une capacité de production prévisionnelle de 27 000 unités par an. Installée dans la région de Kénitra (53 km au nord de Rabat), elle devrait stimuler la production locale de véhicules et de pièces de rechange.
En attendant, dans la chaîne de valeur automobile, le Royaume chérifien voudrait aller au-delà de l’étape du simple assemblage.
En effet, cette société, qui va entamer la commercialisation de son premier modèle à partir de ce mois de novembre, prévoit de porter sa capacité de production à 15 000 véhicules par an d'ici trois ans. « L'industrie automobile est gourmande en liquidités.
C'est donc tout naturellement qu'une cotation à la bourse de Casablanca fait partie de nos objectifs », a déclaré Nassim Belkhayat, le directeur général et fondateur du premier constructeur automobile marocain. Cette société fondée en 2017 a annoncé tout récemment qu’elle allait entamer la commercialisation de son premier modèle à partir de ce mois de novembre.
Le modèle, un SUV urbain à trois portes, doté de moteurs à 3 ou 4 cylindres a été dévoilé en mars dernier, en présence du roi Mohammed VI. Il sera alors vendu à 175 000 dirhams marocains (soit 17 200 $) pour la version 3 cylindres, et à 185 000 dirhams (soit 18 200 $), pour la version 4 cylindres.
Et Nassim Belkhayat d’ajouter : « Nous voulions fabriquer une voiture pour le peuple, comme l'a fait Volkswagen il y a un siècle. Nous avons fabriqué notre propre carrosserie, notre propre cadre et notre système de câbles électriques, et nous avons confié le reste à 43 fournisseurs locaux ».
L’usine de Neo Motors a une capacité de production prévisionnelle de 27 000 unités par an. Installée dans la région de Kénitra (53 km au nord de Rabat), elle devrait stimuler la production locale de véhicules et de pièces de rechange.
En attendant, dans la chaîne de valeur automobile, le Royaume chérifien voudrait aller au-delà de l’étape du simple assemblage.