Depuis le 16 septembre 2016, le paysage médiatique camerounais s’est enrichi d’un nouveau titre : L’Essentiel du Cameroun. C’est une publication qui tranche avec le reste des journaux de la place, à travers une charte graphique originale et une mise en page attrayante. Pour ses deux premières grandes Une, deux dossiers d’une grande actualité ont été traités, avec toute la pertinence requise. Ils portent sur « le calvaire des retraités » de la fonction publique camerounaise et les nominations à problèmes pour lesquelles « le gouvernement se déchire ».
Le ton du journal s’annonce incisif, et certainement avec des dossiers croustillants, l’on pourrait se régaler dans les prochaines publications. On en veut pour explication, la clarification faite par le directeur de publication, Antoine Wongo Ahanda qui, avec son équipe de rédaction, entend porter « un regard critique et sans complaisance à l’encontre des forces d’inertie au-delà des clivages partisans. »
Dans son éditorial intitulé « La rentrée de tous les espoirs et de toutes les craintes », le directeur de publication plante le décor qui caractérise souvent le mois de septembre partout dans le monde, avec la reprise des activités. C’est au cours de cette période charnière et symbolique, que le professeur d’université, journaliste de formation, ancien conseiller culturel à l’ambassade du Cameroun à Paris, et auteur de trois ouvrages sur la communication et les processus électoraux, a décidé de mettre sur les fonts baptismaux, son bihebdomadaire de 16 pages, toutes en quadrichromie.
« On a constaté depuis longtemps que les médias tournent souvent leurs projecteurs sur celles des informations qui leur semblent essentielles et pertinentes suivant leurs convictions appelées pudiquement « ligne éditoriale ». L’Essentiel du Cameroun va essayer de trouver sa place dans l’univers déjà suffisamment peuplé de la presse camerounaise. En mettant en évidence les idées et les réalisations -il y a- d’un Cameroun en marche vers l’émergence. »…. « En mettant en valeur l’expertise camerounaise dans le domaine scientifique, économique et technologique… En participant au débat social à travers une présence active sur le web pour diffuser nos informations et analyses à la diaspora et aux amis du Cameroun à l’extérieur et celles de la diaspora vers le Cameroun », précise le directeur de publication dans son premier éditorial.
Pour la diffusion du journal en dehors des kiosques, il est vendu en version numérique sur http://www.ozipress.com et http://keyopress.com.
Le ton du journal s’annonce incisif, et certainement avec des dossiers croustillants, l’on pourrait se régaler dans les prochaines publications. On en veut pour explication, la clarification faite par le directeur de publication, Antoine Wongo Ahanda qui, avec son équipe de rédaction, entend porter « un regard critique et sans complaisance à l’encontre des forces d’inertie au-delà des clivages partisans. »
Dans son éditorial intitulé « La rentrée de tous les espoirs et de toutes les craintes », le directeur de publication plante le décor qui caractérise souvent le mois de septembre partout dans le monde, avec la reprise des activités. C’est au cours de cette période charnière et symbolique, que le professeur d’université, journaliste de formation, ancien conseiller culturel à l’ambassade du Cameroun à Paris, et auteur de trois ouvrages sur la communication et les processus électoraux, a décidé de mettre sur les fonts baptismaux, son bihebdomadaire de 16 pages, toutes en quadrichromie.
« On a constaté depuis longtemps que les médias tournent souvent leurs projecteurs sur celles des informations qui leur semblent essentielles et pertinentes suivant leurs convictions appelées pudiquement « ligne éditoriale ». L’Essentiel du Cameroun va essayer de trouver sa place dans l’univers déjà suffisamment peuplé de la presse camerounaise. En mettant en évidence les idées et les réalisations -il y a- d’un Cameroun en marche vers l’émergence. »…. « En mettant en valeur l’expertise camerounaise dans le domaine scientifique, économique et technologique… En participant au débat social à travers une présence active sur le web pour diffuser nos informations et analyses à la diaspora et aux amis du Cameroun à l’extérieur et celles de la diaspora vers le Cameroun », précise le directeur de publication dans son premier éditorial.
Pour la diffusion du journal en dehors des kiosques, il est vendu en version numérique sur http://www.ozipress.com et http://keyopress.com.