Par lettre en date du 3 octobre 2014, adressée à notre rédaction, l’ambassade du Tchad en République du Congo, demande réparation suite à l’article traitant du braquage au domicile du journaliste Elie Smith paru dans LDB n°2126 du mercredi 1er octobre. Dans celui-ci allusion avait été faite malencontreusement à la présence d’un ressortissant tchadien dans le groupe des agresseurs interpellés et présentés à la presse par la police le 30 septembre dernier.
Il faut plutôt retenir que le gang de cinq suspects comprenait uniquement des sujets du Congo Brazzaville, du Congo Kinshasa et du Rwanda. La confusion à l’origine de la mention du Tchad est due essentiellement au fait que dans la restitution de son rapport sur la criminalité urbaine, le porte-parole de la police indiquait qu’il n’y a pas longtemps quelques sujets tchadiens avaient été appréhendés pour leur implication présumée dans des cas de braquage recensés à Brazzaville et Pointe-Noire. Ce qui n’a rien à voir avec le cas présent où à l’évidence, aucun citoyen tchadien n’est accusé.
Nous présentons toutes nos excuses à la mission diplomatique tchadienne et soulignons qu’il n’a nullement été question, sur ces entrefaites, d’un quelconque « acharnement à vouloir faussement incriminer sur la liste des suspects délinquants un citoyen tchadien », comme cela est écrit dans la lettre de l’ambassade dont nous comprenons par ailleurs la réaction.
La rédaction
Agence d'information d'Afrique centrale
Il faut plutôt retenir que le gang de cinq suspects comprenait uniquement des sujets du Congo Brazzaville, du Congo Kinshasa et du Rwanda. La confusion à l’origine de la mention du Tchad est due essentiellement au fait que dans la restitution de son rapport sur la criminalité urbaine, le porte-parole de la police indiquait qu’il n’y a pas longtemps quelques sujets tchadiens avaient été appréhendés pour leur implication présumée dans des cas de braquage recensés à Brazzaville et Pointe-Noire. Ce qui n’a rien à voir avec le cas présent où à l’évidence, aucun citoyen tchadien n’est accusé.
Nous présentons toutes nos excuses à la mission diplomatique tchadienne et soulignons qu’il n’a nullement été question, sur ces entrefaites, d’un quelconque « acharnement à vouloir faussement incriminer sur la liste des suspects délinquants un citoyen tchadien », comme cela est écrit dans la lettre de l’ambassade dont nous comprenons par ailleurs la réaction.
La rédaction
Agence d'information d'Afrique centrale