Mme la présidente, quelles sont les grandes innovations de la 3e édition du Febasi ?
Pour l’édition en cours qui a ouvert ses portes depuis le 20 décembre dernier, et qui s’étalera jusqu’au 2 janvier 2016, nous avons une dizaine de départements ministériels qui nous accompagnent. En effet, en plus des ministères en charge du commerce, de l’élevage et des pêches, de l’agriculture et de l’artisanat, qui nous appuient depuis la première édition, d’autres départements ministériels et administrations se sont mobilisés. Il s’agit du ministère des Forêts et de la faune (mieux comprendre les produits forestiers non-ligneux), le ministère de l’Industrie (vulgariser des normes et la qualité), le ministère des Travaux publics (désenclavement des pistes de collecte dans les bassins de production), le ministère de la Santé publique (sécurité sanitaire des aliments), le ministère du Développement urbain et de l’Habitat, pour la promotion d’un habitat décent. Par ailleurs, il y a la présence d’autres structures comme la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale, dans le but d’élargir le fichier des assurés volontaires, puisque des souscriptions sont prévues au cours de l’événement. Sur un autre plan, les mairies de Minta, Makénéné et Obala entre autres, sont également de la partie. Et comme à la première édition, nous sommes revenus à l’esplanade du stade omnisports de Yaoundé où nous avons mobilisé nos membres des dix régions du Cameroun. Nos partenaires de la mairie de Chaumont en France et des exploitants agricoles de France qui ont également été invités pour la foire, se sont rendus dans les communes de Minta et de Makanéné.
En rapport avec le thème de cette année, quelles sont les stratégies mises en œuvre pour sortir vos adhérents de l’informel pour le formel ?
La première des stratégies passe par le renforcement des capacités de nos membres. Et au cours des ateliers, le thème de la migration du secteur informel vers le formel sera développé par le ministère en charge des Petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat.
Pensez-vous que vous bénéficiez suffisamment du soutien des pouvoirs publics pour mener à bien votre action au sein de votre association ?
Notre action est soutenue par le premier Camerounais, le président Paul Biya que nous appelons affectueusement « congélateur national » du petit peuple. Cet évènement, comme les deux premières éditions, est placé sous son très haut patronage. Seulement, l’action d’encadrement des départements ministériels censés nous accompagner ne suit pas toujours. Mais nous ne baissons pas les bras, ce n’est que la persévérance qui paiera.
A l’approche des fêtes de fin d’année, avez-vous un message particulier à l’endroit des consommateurs ? Nous avons réuni tout en un seul lieu, pour leur assurer une bonne célébration des fêtes de fin d’année, par un approvisionnement des vivres à des prix défiant toute concurrence. Nous convions donc les consommateurs à venir faire les achats au site de l’esplanade du stade omnisports de Yaoundé. En dehors des ventes, il y aura des animations sur le grand podium, l’élection de Miss Bayam Selam, un match de football féminin l’équipe des Bayam Selam contre celle des paysannes. Et pour témoigner notre solidarité à nos frères et sœurs incarcérés à la prison centrale de Yaoundé, nous allons leur remettre des dons. C’est notre façon à nous de célébrer avec tous les Camerounais, les fêtes de fin d’année.
Pour l’édition en cours qui a ouvert ses portes depuis le 20 décembre dernier, et qui s’étalera jusqu’au 2 janvier 2016, nous avons une dizaine de départements ministériels qui nous accompagnent. En effet, en plus des ministères en charge du commerce, de l’élevage et des pêches, de l’agriculture et de l’artisanat, qui nous appuient depuis la première édition, d’autres départements ministériels et administrations se sont mobilisés. Il s’agit du ministère des Forêts et de la faune (mieux comprendre les produits forestiers non-ligneux), le ministère de l’Industrie (vulgariser des normes et la qualité), le ministère des Travaux publics (désenclavement des pistes de collecte dans les bassins de production), le ministère de la Santé publique (sécurité sanitaire des aliments), le ministère du Développement urbain et de l’Habitat, pour la promotion d’un habitat décent. Par ailleurs, il y a la présence d’autres structures comme la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale, dans le but d’élargir le fichier des assurés volontaires, puisque des souscriptions sont prévues au cours de l’événement. Sur un autre plan, les mairies de Minta, Makénéné et Obala entre autres, sont également de la partie. Et comme à la première édition, nous sommes revenus à l’esplanade du stade omnisports de Yaoundé où nous avons mobilisé nos membres des dix régions du Cameroun. Nos partenaires de la mairie de Chaumont en France et des exploitants agricoles de France qui ont également été invités pour la foire, se sont rendus dans les communes de Minta et de Makanéné.
En rapport avec le thème de cette année, quelles sont les stratégies mises en œuvre pour sortir vos adhérents de l’informel pour le formel ?
La première des stratégies passe par le renforcement des capacités de nos membres. Et au cours des ateliers, le thème de la migration du secteur informel vers le formel sera développé par le ministère en charge des Petites et moyennes entreprises, de l’économie sociale et de l’artisanat.
Pensez-vous que vous bénéficiez suffisamment du soutien des pouvoirs publics pour mener à bien votre action au sein de votre association ?
Notre action est soutenue par le premier Camerounais, le président Paul Biya que nous appelons affectueusement « congélateur national » du petit peuple. Cet évènement, comme les deux premières éditions, est placé sous son très haut patronage. Seulement, l’action d’encadrement des départements ministériels censés nous accompagner ne suit pas toujours. Mais nous ne baissons pas les bras, ce n’est que la persévérance qui paiera.
A l’approche des fêtes de fin d’année, avez-vous un message particulier à l’endroit des consommateurs ? Nous avons réuni tout en un seul lieu, pour leur assurer une bonne célébration des fêtes de fin d’année, par un approvisionnement des vivres à des prix défiant toute concurrence. Nous convions donc les consommateurs à venir faire les achats au site de l’esplanade du stade omnisports de Yaoundé. En dehors des ventes, il y aura des animations sur le grand podium, l’élection de Miss Bayam Selam, un match de football féminin l’équipe des Bayam Selam contre celle des paysannes. Et pour témoigner notre solidarité à nos frères et sœurs incarcérés à la prison centrale de Yaoundé, nous allons leur remettre des dons. C’est notre façon à nous de célébrer avec tous les Camerounais, les fêtes de fin d’année.