Ce fléau touche l'ensemble de la population n'djaménoise. Les prix des produits de base connaissent une hausse constante : le maïs, qui coûtait auparavant 1000 FCFA le coro, est aujourd'hui à 1250 FCFA ; le riz, dont le coro était à 1200 FCFA, est désormais à 1500 FCFA ; les haricots sont passés de 1000 FCFA à 1500 FCFA le coro ; même les légumes, autrefois à 50 FCFA, se vendent maintenant à 100, 250 ou 500 FCFA.
Cette augmentation soudaine des prix est due à plusieurs facteurs : la mauvaise récolte, les inondations qui touchent les champs cultivables, l'augmentation des frais de transport qui freine l’acheminement des produits depuis les villages ou les régions, et le manque d'espaces pour les cultures maraîchères en raison de la montée des eaux des fleuves. La population, notamment les femmes qui fréquentent les marchés, exprime son désarroi face à la hausse des prix. Cependant, les commerçants expliquent que cette situation échappe à leur contrôle et résulte de la rareté des produits.
Devant cette situation, femmes et commerçants appellent le gouvernement à intervenir pour trouver une solution adéquate, car, de nos jours, nourrir une famille à N'Djamena nécessite au moins 5000 FCFA par jour.
Cette augmentation soudaine des prix est due à plusieurs facteurs : la mauvaise récolte, les inondations qui touchent les champs cultivables, l'augmentation des frais de transport qui freine l’acheminement des produits depuis les villages ou les régions, et le manque d'espaces pour les cultures maraîchères en raison de la montée des eaux des fleuves. La population, notamment les femmes qui fréquentent les marchés, exprime son désarroi face à la hausse des prix. Cependant, les commerçants expliquent que cette situation échappe à leur contrôle et résulte de la rareté des produits.
Devant cette situation, femmes et commerçants appellent le gouvernement à intervenir pour trouver une solution adéquate, car, de nos jours, nourrir une famille à N'Djamena nécessite au moins 5000 FCFA par jour.