Un personnel de santé à l'hôpital de la Renaissance de N'Djamena. © DR
La faculté de sciences de la santé organise depuis le 28 décembre à N'Djamena un atelier de réforme des programmes afin d'adopter le système Licence-Master-Doctorat (LMD) pour une professionnalisation des enseignements et une amélioration de la gouvernance universitaire. L'atelier a été lancé par le ministre de l'Enseignement supérieur, David Houdeingar.
Le système LMD permettra à la faculté d'harmoniser la formation des professions de santé et d'instaurer des semestres.
"De nouvelles filières professionnelles vont voir le jour très prochainement dans notre faculté pour servir surtout de passerelles pour certains étudiants qui pour une raison ou une autre n'arrivent pas à continuer dans les filières longues", a expliqué le doyen de la faculté de sciences de la santé de l'Université de N'Djamena, Ali Issa.
Le ministre de l'Enseignement supérieur a déclaré que "l'Enseignement supérieur doit veiller à traiter des problèmes du moment qui se posent à la société et à cette fin de s'assurer que le problème d'enseignement et activités des établissements répondent comme il convient au besoins futurs et présents de la société dans son ensemble pour contribuer activement à améliorer les perspectives d'emploi des étudiants diplômés".
Le système LMD d'inspiration anglo-saxonne a inspiré l'Afrique à travers la convention d'Arusha qui a recommandé sa reconnaissance à l'international. La Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) a adhéré au processus enclenché depuis 1998 à travers le Conseil Africain et Malagache pour l'enseignement supérieur (CAMES).
Le système LMD permettra à la faculté d'harmoniser la formation des professions de santé et d'instaurer des semestres.
"De nouvelles filières professionnelles vont voir le jour très prochainement dans notre faculté pour servir surtout de passerelles pour certains étudiants qui pour une raison ou une autre n'arrivent pas à continuer dans les filières longues", a expliqué le doyen de la faculté de sciences de la santé de l'Université de N'Djamena, Ali Issa.
Le ministre de l'Enseignement supérieur a déclaré que "l'Enseignement supérieur doit veiller à traiter des problèmes du moment qui se posent à la société et à cette fin de s'assurer que le problème d'enseignement et activités des établissements répondent comme il convient au besoins futurs et présents de la société dans son ensemble pour contribuer activement à améliorer les perspectives d'emploi des étudiants diplômés".
Le système LMD d'inspiration anglo-saxonne a inspiré l'Afrique à travers la convention d'Arusha qui a recommandé sa reconnaissance à l'international. La Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) a adhéré au processus enclenché depuis 1998 à travers le Conseil Africain et Malagache pour l'enseignement supérieur (CAMES).