C'est à 16h31 que le coup d'envoi a été donné par l'arbitre central. Dès l'entame du match, les maillots jaunes de l'équipe Warrior ont pris les devants, que ce soit sur le plan technique et physique. La finale a drainé de nombreux N'djamenois.
Le match a basculé en faveur de l'équipe MAGIC, pratiquement dans les quinze dernières secondes car l'écart était de deux points. "Un match tellement serré", selon les anciens basketteurs assis sur leur siège.
Pour l'entraîneur de l'équipe vainqueur, "le match de basketball ne se joue pas à la première minute, c'est dans le dernier quart d'heure que tout se joue".
"Je n'étais pas inquiet durant ce match car je savais que la fatigue viendra et la psychologie des joueurs prendra le dessus avec tout ce que j'ai mis en place avec mon collègue. Et voilà que nous sommes vainqueur ce soir, je suis content de mes poulains", dit-il.
Pour l'entraîneur adjoint de l'équipe vaincue, "dans une compétition, il y a toujours un vainqueur et un vaincu".
"Je respecte l'entraîneur et ses poulains. Notre problème est que nos joueurs n'ont pas respecté les consignes donnés au dernier moment. Ils ont laissé le temps à l'adversaire pour armer des tirs", déplore-t-il.
Le spectacle n'est pas fini ; le championnat de basketball junior de la ville de N'Djamena démarre dimanche prochain. Le public est invité à venir soutenir les plus jeunes, basketteurs de demain.
Le match a basculé en faveur de l'équipe MAGIC, pratiquement dans les quinze dernières secondes car l'écart était de deux points. "Un match tellement serré", selon les anciens basketteurs assis sur leur siège.
Pour l'entraîneur de l'équipe vainqueur, "le match de basketball ne se joue pas à la première minute, c'est dans le dernier quart d'heure que tout se joue".
"Je n'étais pas inquiet durant ce match car je savais que la fatigue viendra et la psychologie des joueurs prendra le dessus avec tout ce que j'ai mis en place avec mon collègue. Et voilà que nous sommes vainqueur ce soir, je suis content de mes poulains", dit-il.
Pour l'entraîneur adjoint de l'équipe vaincue, "dans une compétition, il y a toujours un vainqueur et un vaincu".
"Je respecte l'entraîneur et ses poulains. Notre problème est que nos joueurs n'ont pas respecté les consignes donnés au dernier moment. Ils ont laissé le temps à l'adversaire pour armer des tirs", déplore-t-il.
Le spectacle n'est pas fini ; le championnat de basketball junior de la ville de N'Djamena démarre dimanche prochain. Le public est invité à venir soutenir les plus jeunes, basketteurs de demain.