Les chefs d'état-major de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) devaient se réunir ce samedi 12 aout 2023 au Ghana pour discuter sur l’intervention militaire au Niger, « mais la réunion a été reportée pour des raisons techniques », ont indiqué des sources militaires régionales citées par l'AFP et RFI.
La rencontre est reportée à une date ultérieure et « aucune nouvelle date n'a été dévoilée », ont rapporté ces médias.
Les chefs d'état-major de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest devraient discuter ce samedi à Accra, et faire part aux dirigeants de la Cédéao des meilleures options quant à leur décision d'activer et de déployer la force en attente.
Réunis en sommet jeudi en sommet à Abuja, les dirigeants de la Cédéao ont en effet décidé de déployer une force en attente pour rétablir M. Bazoum, mais aucun calendrier ni modalités n'ont été dévoilés quant à l'usage possible de la force armée.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a promis jeudi d'envoyer entre 850 et 1.100 soldats comme contribution à la force qui, selon lui, devrait pouvoir intervenir « dans les plus brefs délais ». Des troupes nigérianes et béninoises doivent également la composer, a-t-il dit. Vendredi, le régime militaire de Niamey n'avait pas encore réagi à cette décision.
La rencontre est reportée à une date ultérieure et « aucune nouvelle date n'a été dévoilée », ont rapporté ces médias.
Les chefs d'état-major de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest devraient discuter ce samedi à Accra, et faire part aux dirigeants de la Cédéao des meilleures options quant à leur décision d'activer et de déployer la force en attente.
Réunis en sommet jeudi en sommet à Abuja, les dirigeants de la Cédéao ont en effet décidé de déployer une force en attente pour rétablir M. Bazoum, mais aucun calendrier ni modalités n'ont été dévoilés quant à l'usage possible de la force armée.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a promis jeudi d'envoyer entre 850 et 1.100 soldats comme contribution à la force qui, selon lui, devrait pouvoir intervenir « dans les plus brefs délais ». Des troupes nigérianes et béninoises doivent également la composer, a-t-il dit. Vendredi, le régime militaire de Niamey n'avait pas encore réagi à cette décision.