Mohamed Bazoum, qui était en poste depuis avril 2021, a été arrêté lors du coup d'État mené par les forces armées nigériennes. Depuis lors, il est détenu dans un lieu inconnu sans accès à ses avocats ni à sa famille. Sa détention prolongée et le report de son audience soulèvent des préoccupations quant au respect des droits de l'homme et aux procédures judiciaires équitables.
Me Seydou Diagne, avocat au Barreau de Dakar et coordonnateur du collectif des avocats du président Bazoum, s'est exprimé sur France 24 pour faire part de ses inquiétudes concernant cette affaire. Il souligne que ce report est une violation flagrante des principes fondamentaux de la justice et met en évidence le manque d'indépendance du système judiciaire nigérien.
Selon Me Diagne, les avocats ont demandé ce report afin d'avoir suffisamment de temps pour préparer leur défense dans cette affaire complexe. Ils craignent que leurs droits soient bafoués et que leur capacité à assurer une défense équitable soit compromise. Ils demandent également la libération immédiate Mohamed Bazoum, arguant qu'il doit bénéficier de son immunité présidentielle.
Ce report soulève des questions quant à la stabilité politique du Niger. Le pays a connu plusieurs périodes d'instabilité ces dernières années, avec des coups d'État et des troubles civils. La détention prolongée du président déchu et le retard le jugement pourraient aggraver cette situation déjà fragile.
Il est important que la justice nigérienne garantisse un procès équitable à Mohamed Bazoum ete ses droits fondamentaux en tant que détenu politique. Le respect de l'État de droit et des principes démocratiques est crucial pour rétablir la confiance dans les institutions gouvernementales du pays.
Me Seydou Diagne, avocat au Barreau de Dakar et coordonnateur du collectif des avocats du président Bazoum, s'est exprimé sur France 24 pour faire part de ses inquiétudes concernant cette affaire. Il souligne que ce report est une violation flagrante des principes fondamentaux de la justice et met en évidence le manque d'indépendance du système judiciaire nigérien.
Selon Me Diagne, les avocats ont demandé ce report afin d'avoir suffisamment de temps pour préparer leur défense dans cette affaire complexe. Ils craignent que leurs droits soient bafoués et que leur capacité à assurer une défense équitable soit compromise. Ils demandent également la libération immédiate Mohamed Bazoum, arguant qu'il doit bénéficier de son immunité présidentielle.
Ce report soulève des questions quant à la stabilité politique du Niger. Le pays a connu plusieurs périodes d'instabilité ces dernières années, avec des coups d'État et des troubles civils. La détention prolongée du président déchu et le retard le jugement pourraient aggraver cette situation déjà fragile.
Il est important que la justice nigérienne garantisse un procès équitable à Mohamed Bazoum ete ses droits fondamentaux en tant que détenu politique. Le respect de l'État de droit et des principes démocratiques est crucial pour rétablir la confiance dans les institutions gouvernementales du pays.