Plus de 400 migrants nigériens ont été expulsés mi-juillet depuis la Libye vers le désert du Niger, arrivant dans la ville de Dirkou après un trajet d'environ 1 000 km. Cette vague d'expulsions devrait être suivie d'une seconde, également de grande ampleur, selon l'association Alarme phone Sahara.
Les migrants ont été arrêtés "en particulier dans la région de Sabah" en Libye, par "les forces du général (sic) Khalifa Haftar", puis conduits à la frontière libyenne. Une fois entrés au Niger, les migrants ont été abandonnés dans le désert à proximité de la ville de Dirkou, qui ne dispose que d'un centre de transit de 30 places déjà complet.
Ce type d'expulsions de migrants depuis la Libye vers le Niger est plus rare que depuis l'Algérie, où les exilés sont régulièrement renvoyés en plein désert à la frontière.
L'OIM au Niger indique avoir "déjà observé des retours de Nigériens de Libye, mais pas à cette échelle".
Cet événement illustre les défis humanitaires auxquels fait face le Niger face à l'afflux de migrants expulsés des pays voisins.
Les migrants ont été arrêtés "en particulier dans la région de Sabah" en Libye, par "les forces du général (sic) Khalifa Haftar", puis conduits à la frontière libyenne. Une fois entrés au Niger, les migrants ont été abandonnés dans le désert à proximité de la ville de Dirkou, qui ne dispose que d'un centre de transit de 30 places déjà complet.
Ce type d'expulsions de migrants depuis la Libye vers le Niger est plus rare que depuis l'Algérie, où les exilés sont régulièrement renvoyés en plein désert à la frontière.
L'OIM au Niger indique avoir "déjà observé des retours de Nigériens de Libye, mais pas à cette échelle".
Cet événement illustre les défis humanitaires auxquels fait face le Niger face à l'afflux de migrants expulsés des pays voisins.