Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque africaine de développement a approuvé, lundi à Abidjan, un prêt de 210 millions de dollars américains en faveur du Nigeria pour la mise en œuvre de la phase 1 du Programme spécial de Zone de transformation agroalimentaire. Le programme qui devrait avoir un impact sur la vie de millions de personnes dans le pays le plus peuplé d’Afrique contribuera à libérer le potentiel du secteur agricole nigérian. Il favorisera l’industrialisation grâce au développement de cultures et d’élevages stratégiques.
Le financement de ce programme par la Banque africaine de développement représente, à ce jour, l’une des opérations les plus ambitieuses de l’institution en termes d’envergure et de portée. Il se compose d’un prêt de 160 millions de dollars de la Banque africaine de développement et d’un autre de 50 millions de dollars de l’Africa Growing Together Fund. La phase 1 du projet ciblera sept États fédérés du Nigeria ainsi que la capitale fédérale Abuja. Le projet appuiera les efforts déployés par le Nigeria pour accroître la productivité agricole, promouvoir les investissements, créer de la richesse et des emplois, et transformer les zones rurales en corridors de prospérité économique.
La première phase sera mise en œuvre avec le cofinancement d’autres partenaires pour un montant total de 538,05 millions de dollars. Le programme des Zones spéciales de transformation agroalimentaire devrait permettre de doter les régions rurales à fort potentiel agricole d’infrastructures économiques. Ces zones attireront les investissements des agro-industriels et des entrepreneurs, contribueront au développement économique et social du Nigeria et permettront d’endiguer l’exode rural. Les régions concernées par le projet représentent 19 % de la superficie totale du Nigeria et 50,4 millions de personnes en bénéficieront.
Les États dans lesquels la première phase du programme sera mise en œuvre ont été sélectionnés sur la base d’un critère de préparation et de la nécessité d’assurer un équilibre géographique entre les six zones géopolitiques du Nigeria. La Banque prévoit d’établir les zones spéciales de transformation agroalimentaire dans 18 pays africains, dont le Nigeria. Les zones sont conçues de manière à regrouper la production, la transformation, le stockage, le transport et la commercialisation de produits de base, tels que le coton ou le maïs, afin d’accroître la productivité et la compétitivité tout en réduisant les coûts logistiques.
Généralement implantées à proximité de villes de taille moyenne, les zones agro-industrielles sont conçues pour revitaliser les économies périurbaines et créer des emplois pour les femmes, les hommes et les jeunes.
Le financement de ce programme par la Banque africaine de développement représente, à ce jour, l’une des opérations les plus ambitieuses de l’institution en termes d’envergure et de portée. Il se compose d’un prêt de 160 millions de dollars de la Banque africaine de développement et d’un autre de 50 millions de dollars de l’Africa Growing Together Fund. La phase 1 du projet ciblera sept États fédérés du Nigeria ainsi que la capitale fédérale Abuja. Le projet appuiera les efforts déployés par le Nigeria pour accroître la productivité agricole, promouvoir les investissements, créer de la richesse et des emplois, et transformer les zones rurales en corridors de prospérité économique.
La première phase sera mise en œuvre avec le cofinancement d’autres partenaires pour un montant total de 538,05 millions de dollars. Le programme des Zones spéciales de transformation agroalimentaire devrait permettre de doter les régions rurales à fort potentiel agricole d’infrastructures économiques. Ces zones attireront les investissements des agro-industriels et des entrepreneurs, contribueront au développement économique et social du Nigeria et permettront d’endiguer l’exode rural. Les régions concernées par le projet représentent 19 % de la superficie totale du Nigeria et 50,4 millions de personnes en bénéficieront.
Les États dans lesquels la première phase du programme sera mise en œuvre ont été sélectionnés sur la base d’un critère de préparation et de la nécessité d’assurer un équilibre géographique entre les six zones géopolitiques du Nigeria. La Banque prévoit d’établir les zones spéciales de transformation agroalimentaire dans 18 pays africains, dont le Nigeria. Les zones sont conçues de manière à regrouper la production, la transformation, le stockage, le transport et la commercialisation de produits de base, tels que le coton ou le maïs, afin d’accroître la productivité et la compétitivité tout en réduisant les coûts logistiques.
Généralement implantées à proximité de villes de taille moyenne, les zones agro-industrielles sont conçues pour revitaliser les économies périurbaines et créer des emplois pour les femmes, les hommes et les jeunes.