Les observateurs avertis et objectifs de la scène politique congolaise lisaient déjà le scénario mis en application par l’opposition radicale aujourd’hui. En effet, dans toute démocratie, le seul et meilleur baromètre de la popularité d’un leader reste le vote, tandis que le meilleur juge des leaders politiques a pour nom le Peuple, parce qu’il est le souverain primaire.
Mais, une partie de l’opposition congolaise s’est volontairement radicalisée, parce que – c’est évident aujourd’hui – elle avait un plan B, basé sur la violence, on pourrait même dire sur la guerre. Pour s’en convaincre, elle vient de lancer à trois jours de la fin de la campagne électorale relative au référendum constitutionnelle, des actions de violence, dont la suite, selon elle est – pour modérer le langage – l’atteinte physique du président de la République, soit son opposition radicalisée, au lieu de convaincre par l’argument est passée à la force pour contraindre le peuple à l’errance et au silence.
Lorsque, le 3 août 2014 à Dolisie, le secrétaire général de l’UPADS, Pascal Tsaty-Mabiala bombait le torse au cours d’un meeting, en promettant à la population de leur offrir du sang à la place des larmes, certains Congolais avaient vu en ces paroles incendiaires le fruit d’un excès de langage. Erreur !
D’ailleurs, selon une source digne de foi citée par le site direct.cd, «l’alliance des partis de l’opposition IDC-FROCAD » a planifié, avec l’aide « des puissances occidentales », une marche sanglante, le 20 octobre 2015, pour « éliminer » Sassou N’Guesso, au motif que le référendum pour la nouvelle constitution, le maintiendrait au pouvoir.
Fondées ou non, des informations de ce genre ne surprennent pas ceux qui savaient qu’une opposition politique ne pouvait pas asseoir sa politique de contestation de l’action du pouvoir sur le boycott systématique y compris des actions qu’elle demande au pouvoir, rien par simple mauvaise foi.
La violence, donc la guerre devenait presque inéluctable, alors ses militants savaient qu’elle avait déjà « épuisé » sa stratégie de base : le boycott. Le site alwihdainfo.com a publié, récemment, un article au titre révélateur sur ce que devait faire l’opposition radicale congolaise : «La violence et le boycott, seules stratégies de l’opposition pour dissuader les congolais».
On est en plein dans cette violence qui se démontre. Car, si une désobéissance civile, non prévue dans la constitution, se dirige vers les postes de gendarmerie et les commissariats de police, c’est que ses auteurs visent les armes. Et quand ils ont les armes, on peut imaginer la suite : faire la guerre, pour tuer des Congolais qui ne partagent pas leur point de vue. Comble de démocratie !
Selon direct.cd, la coalition des partis de l’opposition a recruté des mercenaires à qui elle avait confié la mission de créer un désordre conduisant à un véritable carnage durant la marche du 20 octobre 2015 afin d’attribuer la responsabilité au camp du pouvoir. Et les services secrets des puissances étrangères sont à la manœuvre dans ce cynique plan comme ils l’ont fait ailleurs en Afrique.
Les séjours parfois prolongés de certains de ces opposants radicaux à l’étranger et leurs passages répétés dans la rue de Solferino, siège du parti socialiste français, ne sont peut-être pas étrangers à ce genre de plan diabolique.
Il est tout de même regrettable qu’au XXIème siècle, l’on trouve au Congo, des hommes politiques qui au nom d’une opposition sans principe, soient obligés de passer par la guerre pour assouvir leurs appétits politiques. Cette attitude est d’autant plus étonnant que le Congo a déjà traversé une période d’atrocités qui a plongé le pays dans les abîmes, sans que personne n’en sorte vainqueur.
Mais, une partie de l’opposition congolaise s’est volontairement radicalisée, parce que – c’est évident aujourd’hui – elle avait un plan B, basé sur la violence, on pourrait même dire sur la guerre. Pour s’en convaincre, elle vient de lancer à trois jours de la fin de la campagne électorale relative au référendum constitutionnelle, des actions de violence, dont la suite, selon elle est – pour modérer le langage – l’atteinte physique du président de la République, soit son opposition radicalisée, au lieu de convaincre par l’argument est passée à la force pour contraindre le peuple à l’errance et au silence.
Lorsque, le 3 août 2014 à Dolisie, le secrétaire général de l’UPADS, Pascal Tsaty-Mabiala bombait le torse au cours d’un meeting, en promettant à la population de leur offrir du sang à la place des larmes, certains Congolais avaient vu en ces paroles incendiaires le fruit d’un excès de langage. Erreur !
D’ailleurs, selon une source digne de foi citée par le site direct.cd, «l’alliance des partis de l’opposition IDC-FROCAD » a planifié, avec l’aide « des puissances occidentales », une marche sanglante, le 20 octobre 2015, pour « éliminer » Sassou N’Guesso, au motif que le référendum pour la nouvelle constitution, le maintiendrait au pouvoir.
Fondées ou non, des informations de ce genre ne surprennent pas ceux qui savaient qu’une opposition politique ne pouvait pas asseoir sa politique de contestation de l’action du pouvoir sur le boycott systématique y compris des actions qu’elle demande au pouvoir, rien par simple mauvaise foi.
La violence, donc la guerre devenait presque inéluctable, alors ses militants savaient qu’elle avait déjà « épuisé » sa stratégie de base : le boycott. Le site alwihdainfo.com a publié, récemment, un article au titre révélateur sur ce que devait faire l’opposition radicale congolaise : «La violence et le boycott, seules stratégies de l’opposition pour dissuader les congolais».
On est en plein dans cette violence qui se démontre. Car, si une désobéissance civile, non prévue dans la constitution, se dirige vers les postes de gendarmerie et les commissariats de police, c’est que ses auteurs visent les armes. Et quand ils ont les armes, on peut imaginer la suite : faire la guerre, pour tuer des Congolais qui ne partagent pas leur point de vue. Comble de démocratie !
Selon direct.cd, la coalition des partis de l’opposition a recruté des mercenaires à qui elle avait confié la mission de créer un désordre conduisant à un véritable carnage durant la marche du 20 octobre 2015 afin d’attribuer la responsabilité au camp du pouvoir. Et les services secrets des puissances étrangères sont à la manœuvre dans ce cynique plan comme ils l’ont fait ailleurs en Afrique.
Les séjours parfois prolongés de certains de ces opposants radicaux à l’étranger et leurs passages répétés dans la rue de Solferino, siège du parti socialiste français, ne sont peut-être pas étrangers à ce genre de plan diabolique.
Il est tout de même regrettable qu’au XXIème siècle, l’on trouve au Congo, des hommes politiques qui au nom d’une opposition sans principe, soient obligés de passer par la guerre pour assouvir leurs appétits politiques. Cette attitude est d’autant plus étonnant que le Congo a déjà traversé une période d’atrocités qui a plongé le pays dans les abîmes, sans que personne n’en sorte vainqueur.