Lomé, le 20 septembre 2016-Lomé accueille depuis ce lundi deux ateliers portant sur la définition d’une plateforme des acteurs non étatiques pour règlementer l’économie bleue et l’examen du bilan à mi-parcours de la campagne agricole 2016-2017.
C’est le Comité Inter-état de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) qui est l’initiateur des deux ateliers qui s’étalent sur cinq jours. Plusieurs participants venus de dix-sept pays africains sont ainsi présents à Lomé. Il s’agira pour eux de réfléchir sur les perspectives agricoles et alimentaires au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Les travaux porteront également sur la définition des moyens d’associer dans la gestion des ressources halieutiques tous les acteurs non étatiques.
Selon le secrétaire exécutif du Comité Inter-état de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), les ateliers de Lomé s’annoncent décisifs en ce qui concerne l’importance des objectifs fixés. « Le CILSS veut maintenir la veille internationale sur le déroulement des campagnes agropastorales », a déclaré Dr MAHALMOUDOU Hamadoun.
De son côté, le chargé des ressources halieutiques de l’Union Africaine a rappelé le caractère inclusif que comportent les rencontres. Il s’agit en effet d’impliquer chaque partie dans les actions à mener. Les ateliers permettront de « faciliter une participation accrue et effective des parties présentes aux processus décisionnels des politiques de reformes de la pêche et de l’aquaculture dans le continent », a reconnu ABOUBACAR Sidibé.
Pour rappel, le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) a été créé en septembre 1973 à la suite des grandes sécheresses qui ont frappé le Sahel. Entres autres, le CILSS s’investit dans les stratégies de sécurité alimentaire et des énergies domestiques. Le Comité s’emploie également dans la lutte contre la désertification dans les Etats membres.
C’est le Comité Inter-état de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS) qui est l’initiateur des deux ateliers qui s’étalent sur cinq jours. Plusieurs participants venus de dix-sept pays africains sont ainsi présents à Lomé. Il s’agira pour eux de réfléchir sur les perspectives agricoles et alimentaires au Sahel et en Afrique de l’Ouest. Les travaux porteront également sur la définition des moyens d’associer dans la gestion des ressources halieutiques tous les acteurs non étatiques.
Selon le secrétaire exécutif du Comité Inter-état de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS), les ateliers de Lomé s’annoncent décisifs en ce qui concerne l’importance des objectifs fixés. « Le CILSS veut maintenir la veille internationale sur le déroulement des campagnes agropastorales », a déclaré Dr MAHALMOUDOU Hamadoun.
De son côté, le chargé des ressources halieutiques de l’Union Africaine a rappelé le caractère inclusif que comportent les rencontres. Il s’agit en effet d’impliquer chaque partie dans les actions à mener. Les ateliers permettront de « faciliter une participation accrue et effective des parties présentes aux processus décisionnels des politiques de reformes de la pêche et de l’aquaculture dans le continent », a reconnu ABOUBACAR Sidibé.
Pour rappel, le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) a été créé en septembre 1973 à la suite des grandes sécheresses qui ont frappé le Sahel. Entres autres, le CILSS s’investit dans les stratégies de sécurité alimentaire et des énergies domestiques. Le Comité s’emploie également dans la lutte contre la désertification dans les Etats membres.