Paris, le 30 novembre 2015 - La Conférence de Paris de 2015 sur le changement climatique (COP21) a officiellement été lancée le 30 novembre 2015 à Paris en présence de plus de 150 dirigeants du monde. Le président Faure Gnassingbé arrivé le 29 novembre dans la capitale française, participe aux côtés de ses pairs à cette conférence dont l’issue sera « vitale » pour la planète.
Le Togo comme de nombreux pays africains fait partie des pays en développement, très petits pollueurs mais très exposés aux conséquences du réchauffement climatique, situation qualifiée d’ « injustice climatique » par l’hôte du sommet, le chef de l’Etat français. Il faut souligner que la côte togolaise est soumise depuis quelques décennies à une forte érosion qui menace de nombreuses villes, notamment Aného.
Outre les dirigeants politiques (François Hollande, Barack Obama, Angela Merkel, Xi Jinping...), des représentants d’Organisations non-gouvernementales impliquées dans la défense de l’environnement participent à ces travaux qui se tiennent sur un site entièrement aménagé au Parc des expositions du Bourget (15 minutes de Paris).
En ouvrant les travaux de la COP 21, le président français a estimé que « jamais l’enjeu d’une réunion internationale n’avait été aussi élevé », car il s’agit « de l’avenir de la planète, de la vie ». Pour François Hollande, le succès de ce rendez-vous dépendra de la définition d’une trajectoire crédible permettant de contenir le réchauffement climatique en dessous des 2 degrés, voire même 1,5 degrés. Il faudra également apporter aux défis climatiques, une réponse solidaire. Ainsi, aucun Etat ne devrait se soustraire à ses engagements. Toutes les composantes des sociétés, selon le président de la République française doivent se mettre en mouvement afin de faire de cette conférence un succès sur lequel repose l’avenir de l’humanité.
En saluant le leadership courageux de François Hollande, le Secrétaire-général de l’ONU a appelé les délégués à choisir la voie du compromis et du consensus car « l’heure n’est plus à la politique de la corde raide ». L’accord issu des discussions doit être universel et solide. Ban Ki-moon a souhaité que l’accord qui sera trouvé à l’issue des travaux soit durable, dynamique et crédible.
Clôturant le bal des interventions, le ministre français des Affaires Etrangères a salué la présence de plus de 150 chefs d’Etats et de gouvernement à Paris malgré les attaques récentes de terroristes qui ont secoués la capitale. Laurent Fabius s’est également montré satisfait de la présence d’acteurs non gouvernementaux de toute la planète, souhaitant qu’un accord universel et ambitieux puisse être signé à la fin de la conférence dans une dizaine de jours.
Les interventions des leaders politiques du monde débutent cette après-midi. Le président togolais Faure Gnassingbé doit prendre la parole après les discours du roi Mohamed VI du Maroc, du président américain Barack Obama, de John Dramani Mahama du Ghana.
Le Togo comme de nombreux pays africains fait partie des pays en développement, très petits pollueurs mais très exposés aux conséquences du réchauffement climatique, situation qualifiée d’ « injustice climatique » par l’hôte du sommet, le chef de l’Etat français. Il faut souligner que la côte togolaise est soumise depuis quelques décennies à une forte érosion qui menace de nombreuses villes, notamment Aného.
Outre les dirigeants politiques (François Hollande, Barack Obama, Angela Merkel, Xi Jinping...), des représentants d’Organisations non-gouvernementales impliquées dans la défense de l’environnement participent à ces travaux qui se tiennent sur un site entièrement aménagé au Parc des expositions du Bourget (15 minutes de Paris).
En ouvrant les travaux de la COP 21, le président français a estimé que « jamais l’enjeu d’une réunion internationale n’avait été aussi élevé », car il s’agit « de l’avenir de la planète, de la vie ». Pour François Hollande, le succès de ce rendez-vous dépendra de la définition d’une trajectoire crédible permettant de contenir le réchauffement climatique en dessous des 2 degrés, voire même 1,5 degrés. Il faudra également apporter aux défis climatiques, une réponse solidaire. Ainsi, aucun Etat ne devrait se soustraire à ses engagements. Toutes les composantes des sociétés, selon le président de la République française doivent se mettre en mouvement afin de faire de cette conférence un succès sur lequel repose l’avenir de l’humanité.
En saluant le leadership courageux de François Hollande, le Secrétaire-général de l’ONU a appelé les délégués à choisir la voie du compromis et du consensus car « l’heure n’est plus à la politique de la corde raide ». L’accord issu des discussions doit être universel et solide. Ban Ki-moon a souhaité que l’accord qui sera trouvé à l’issue des travaux soit durable, dynamique et crédible.
Clôturant le bal des interventions, le ministre français des Affaires Etrangères a salué la présence de plus de 150 chefs d’Etats et de gouvernement à Paris malgré les attaques récentes de terroristes qui ont secoués la capitale. Laurent Fabius s’est également montré satisfait de la présence d’acteurs non gouvernementaux de toute la planète, souhaitant qu’un accord universel et ambitieux puisse être signé à la fin de la conférence dans une dizaine de jours.
Les interventions des leaders politiques du monde débutent cette après-midi. Le président togolais Faure Gnassingbé doit prendre la parole après les discours du roi Mohamed VI du Maroc, du président américain Barack Obama, de John Dramani Mahama du Ghana.