Le Général Idriss Dokony Adiker, vice-président de la Confédération Africaine de Volleyball, a tenu ce samedi 24 août 2024 un point de presse dans un restaurant de la place. Cette rencontre était axée sur le bilan des Jeux Olympiques de Paris, édition 2024, les perspectives pour l'avenir, ainsi que sur sa réélection au poste de vice-président de la Confédération Africaine de Volleyball.
Lors de son intervention, le Général Idriss Dokony Adiker est revenu sur les conditions de participation du Tchad aux Jeux Olympiques. Il a précisé que certaines critiques ont été émises à l'encontre du Tchad concernant sa participation à ces jeux. Le général s'est dit désolé du comportement de certaines personnes qu'il a qualifiées de "critiques aigries" et qui, selon lui, ne contribuent en rien de constructif. Il a dénoncé l'amalgame fait par certaines personnes concernant la participation des athlètes aux Jeux Olympiques, soulignant qu'il ne revient ni à un État ni à une fédération de décider de la participation des athlètes. Selon lui, seul le Comité International Olympique (CIO) est habilité à gérer ces jeux. Il a ajouté que les Jeux Olympiques appartiennent au CIO et que, pour y participer, il faut être membre de cette organisation. Au niveau national, c'est le Comité National Olympique (CNO) qui est chargé de toutes les questions sportives. Le général a également rappelé que tous les quatre ans, le CIO choisit le pays organisateur des Jeux, et que cette fois-ci, la France a été sélectionnée. Par conséquent, le Tchad, comme d'autres pays, a été informé par le biais du CNO pour inscrire ses athlètes.
Pendant ce point de presse, le vice-président de la Confédération Africaine de Volleyball a expliqué toutes les démarches suivies par le Tchad bien avant et jusqu'à la participation aux jeux. Il a aussi détaillé la performance des joueurs tchadiens jusqu'à la fin des Jeux. Il est revenu sur la disqualification de l'athlète Bétel, précisant que cette décision relevait du système de compétence de la Confédération Internationale via la Confédération Africaine. Face aux critiques circulant sur les réseaux sociaux, Idriss Dokony Adiker a largement éclairci la situation afin que les citoyens comprennent les efforts consentis qui ont permis au Tchad de participer aux Jeux Olympiques.
Lors de son intervention, le Général Idriss Dokony Adiker est revenu sur les conditions de participation du Tchad aux Jeux Olympiques. Il a précisé que certaines critiques ont été émises à l'encontre du Tchad concernant sa participation à ces jeux. Le général s'est dit désolé du comportement de certaines personnes qu'il a qualifiées de "critiques aigries" et qui, selon lui, ne contribuent en rien de constructif. Il a dénoncé l'amalgame fait par certaines personnes concernant la participation des athlètes aux Jeux Olympiques, soulignant qu'il ne revient ni à un État ni à une fédération de décider de la participation des athlètes. Selon lui, seul le Comité International Olympique (CIO) est habilité à gérer ces jeux. Il a ajouté que les Jeux Olympiques appartiennent au CIO et que, pour y participer, il faut être membre de cette organisation. Au niveau national, c'est le Comité National Olympique (CNO) qui est chargé de toutes les questions sportives. Le général a également rappelé que tous les quatre ans, le CIO choisit le pays organisateur des Jeux, et que cette fois-ci, la France a été sélectionnée. Par conséquent, le Tchad, comme d'autres pays, a été informé par le biais du CNO pour inscrire ses athlètes.
Pendant ce point de presse, le vice-président de la Confédération Africaine de Volleyball a expliqué toutes les démarches suivies par le Tchad bien avant et jusqu'à la participation aux jeux. Il a aussi détaillé la performance des joueurs tchadiens jusqu'à la fin des Jeux. Il est revenu sur la disqualification de l'athlète Bétel, précisant que cette décision relevait du système de compétence de la Confédération Internationale via la Confédération Africaine. Face aux critiques circulant sur les réseaux sociaux, Idriss Dokony Adiker a largement éclairci la situation afin que les citoyens comprennent les efforts consentis qui ont permis au Tchad de participer aux Jeux Olympiques.