La tourné du président français Hollande en Afrique de l’Ouest et de Centre qui a débuté ce jeudi 17 juillet, serait en grande partie due à la sécurité dans la zone sahélienne d’Afrique. La France veut être une plaque tournante militaire dans cette partie du continent avec comme centre d’opération et de commandement, une importante base à N’Djamena, la capitale du Tchad. Toutes ces initiatives françaises couteraient des millions d’euro au pays de Gaulle, qui est, d’ailleurs économiquement à l’agonie. Oh la France, où trouverait-elle une telle somme pour financer cette opération qui demande l’effort de tout un continent ? Est ce, une nouvelle formule de mafia pour enrôler les pays sahéliens, afin de quémander de fond auprès de la communauté internationale en leurs noms, parler aux noms de ces derniers à la tribune des Nations-Unies ou encore saccager les efforts consentis par les sahéliens d’Afrique pour les rendre dépendants ?
Terrorisme au sahel. Un véritable casse tête sécuritaire pour le monde entier mais certaines puissances, veulent tirer profit en transformer ce désastre en vache de lait au détriment des pays qui en souffre. Pourquoi la sécurité au sahel préoccupe autant la France et son président Hollande ? Evidemment, c’est une course contre la montre entre les Etats-Unis et le pays de Gaulle, pour la consolidation d’une base militaire dans cette zone jusque là, sécurisé par le Tchad. Hollande, se précipite à N’Djamena, juste au moment où les Etats-Unis ont exprimé leur volonté de mettre à jour un centre stratégique des opérations militaires de lutte anti-terrorisme au nord du Tchad, dont les drones seront les principales actionnaires. Si la lutte anti- terrorisme au sahel est un objectif commun, pourquoi la zone serait-elle l’objet de convoitise par les puissances ? Paradoxe.
En répondant à la question ci-dessus, le stratège militaire au centre d’opération de l’armée Tchado-soudanienne à la frontière entre les deux pays, AHMAT Al-Fadhila Senoussi, répond dans un jargon militaire mais simple et compréhensible : «Subhanallah ! Quiconque sait que les pays occidentaux veulent écouler ou tester leur armement partout où c’est nécessaire. Mais personne ne peut ignorer aussi que les pays sahéliens maîtrisent mieux la sécurité au sahel. Elle n’a pas besoin des bases militaires étrangères pour lutter efficacement contre les trafiquants des drogues et les bandes de terroristes qui écument dans la zone, mais de soutiens matériels. » Ce stratège a-t-il raison ? Et bien! Les circonstances actuelles lui donnent raison.
Terrorisme au sahel. Un véritable casse tête sécuritaire pour le monde entier mais certaines puissances, veulent tirer profit en transformer ce désastre en vache de lait au détriment des pays qui en souffre. Pourquoi la sécurité au sahel préoccupe autant la France et son président Hollande ? Evidemment, c’est une course contre la montre entre les Etats-Unis et le pays de Gaulle, pour la consolidation d’une base militaire dans cette zone jusque là, sécurisé par le Tchad. Hollande, se précipite à N’Djamena, juste au moment où les Etats-Unis ont exprimé leur volonté de mettre à jour un centre stratégique des opérations militaires de lutte anti-terrorisme au nord du Tchad, dont les drones seront les principales actionnaires. Si la lutte anti- terrorisme au sahel est un objectif commun, pourquoi la zone serait-elle l’objet de convoitise par les puissances ? Paradoxe.
En répondant à la question ci-dessus, le stratège militaire au centre d’opération de l’armée Tchado-soudanienne à la frontière entre les deux pays, AHMAT Al-Fadhila Senoussi, répond dans un jargon militaire mais simple et compréhensible : «Subhanallah ! Quiconque sait que les pays occidentaux veulent écouler ou tester leur armement partout où c’est nécessaire. Mais personne ne peut ignorer aussi que les pays sahéliens maîtrisent mieux la sécurité au sahel. Elle n’a pas besoin des bases militaires étrangères pour lutter efficacement contre les trafiquants des drogues et les bandes de terroristes qui écument dans la zone, mais de soutiens matériels. » Ce stratège a-t-il raison ? Et bien! Les circonstances actuelles lui donnent raison.