Dans ses propos, Saleh Kebzabo évoque une atmosphère tendue entre les deux principaux candidats en lice : Mahamat Idriss Deby et Succes Masra. Il exprime également ses craintes quant à une éventuelle proclamation prématurée de la victoire par l'un des candidats, ce qui serait politiquement impossible étant donné le contexte difficile dans lequel se trouve le Tchad.
L'ancien Premier ministre insiste sur l'importance de prier pour éviter tout désordre dans le pays et pour que cette élection se déroule sans heurts excessifs. Il souligne que le Tchad est entouré de nombreux défis politiques et sécuritaires, ce qui rend la situation d'autant plus délicate.
« Aujourd'hui, ils (Mahamat Idriss Deby et Succes Masra) se retrouvent tous les deux en train de se regarder en chien de faïence. Nous prions tous Dieu pour qu'il n'y ait pas de désordre dans le pays et que cette élection ne donne pas lieu à des débordements excessifs. J'ai peur que le candidat qui est en face (de lui) se précipite pour dire qu’il est élu par exemple. Ce qui est pratiquement, politiquement impossible parce que le Tchad est très mal entouré », s’est-il exprimé.
Ces déclarations mettent en lumière les préoccupations et les tensions qui entourent l'élection présidentielle au Tchad. La stabilité du pays ainsi que la crédibilité du processus électoral sont des enjeux majeurs pour assurer une transition pacifique du pouvoir.
L'ancien Premier ministre insiste sur l'importance de prier pour éviter tout désordre dans le pays et pour que cette élection se déroule sans heurts excessifs. Il souligne que le Tchad est entouré de nombreux défis politiques et sécuritaires, ce qui rend la situation d'autant plus délicate.
« Aujourd'hui, ils (Mahamat Idriss Deby et Succes Masra) se retrouvent tous les deux en train de se regarder en chien de faïence. Nous prions tous Dieu pour qu'il n'y ait pas de désordre dans le pays et que cette élection ne donne pas lieu à des débordements excessifs. J'ai peur que le candidat qui est en face (de lui) se précipite pour dire qu’il est élu par exemple. Ce qui est pratiquement, politiquement impossible parce que le Tchad est très mal entouré », s’est-il exprimé.
Ces déclarations mettent en lumière les préoccupations et les tensions qui entourent l'élection présidentielle au Tchad. La stabilité du pays ainsi que la crédibilité du processus électoral sont des enjeux majeurs pour assurer une transition pacifique du pouvoir.