Des soldats Nigériens à Niamey, le 1er juin 2013.
AFP PHOTO / STRINGER
C’est dans un camp de la gendarmerie en alerte maximum que les assaillants ont tenté leur opération. Dès les premiers tirs du commando en direction des sentinelles, la contre-attaque a été rapide.
Toutes les portes qui mènent au camp ont été vaillamment défendues par les gendarmes qui ont réussi à dérouter l’ennemi. Les renforts, venus des autres unités de Niamey, ont permis de stabiliser la situation, après les échanges de tirs qui ont duré environ une heure, selon les habitants des quartiers avoisinants.
Cellules dormantes terroristes
Toute la nuit de mardi 11 à mercredi 12 juin, des patrouilles ont ratissé la zone, en vain. Les assaillants, dont on ne connaît pas le nombre pour l’instant, ont profité du noir dans lequel la Nigérienne d’électricité a plongé la ville de Niamey, pour se retirer et se cacher.
Ce qui fait dire à plusieurs observateurs que les cellules dormantes des terroristes sont bien tapies dans l’ombre et prêtes à agir à la moindre occasion ou sur instruction de leurs commanditaires, mis en déroute dans le nord du Mali.
Ni blessé ni mort
Officiellement, il n’y a eu aucun blessé ni mort dans les rangs de la gendarmerie. Ce matin encore, les enquêteurs tentent de comprendre ce qui s’est réellement passé mardi dans la nuit, dans ce quartier périphérique de Niamey.
Cette attaque du camp de la gendarmerie du quartier Koïra-Tégui est la quatrième du genre, après Arlit et Agadez dans le Nord et celle de la prison civile de Niamey. Comme on le voit, la guerre asymétrique tant attendue a bel et bien commencé.
Toutes les portes qui mènent au camp ont été vaillamment défendues par les gendarmes qui ont réussi à dérouter l’ennemi. Les renforts, venus des autres unités de Niamey, ont permis de stabiliser la situation, après les échanges de tirs qui ont duré environ une heure, selon les habitants des quartiers avoisinants.
Cellules dormantes terroristes
Toute la nuit de mardi 11 à mercredi 12 juin, des patrouilles ont ratissé la zone, en vain. Les assaillants, dont on ne connaît pas le nombre pour l’instant, ont profité du noir dans lequel la Nigérienne d’électricité a plongé la ville de Niamey, pour se retirer et se cacher.
Ce qui fait dire à plusieurs observateurs que les cellules dormantes des terroristes sont bien tapies dans l’ombre et prêtes à agir à la moindre occasion ou sur instruction de leurs commanditaires, mis en déroute dans le nord du Mali.
Ni blessé ni mort
Officiellement, il n’y a eu aucun blessé ni mort dans les rangs de la gendarmerie. Ce matin encore, les enquêteurs tentent de comprendre ce qui s’est réellement passé mardi dans la nuit, dans ce quartier périphérique de Niamey.
Cette attaque du camp de la gendarmerie du quartier Koïra-Tégui est la quatrième du genre, après Arlit et Agadez dans le Nord et celle de la prison civile de Niamey. Comme on le voit, la guerre asymétrique tant attendue a bel et bien commencé.